le hollandais volant 04/01/2015 Là c’est pareil : qui nous oblige à les laisser entrer chez nous ? Si on leur refuse et qu’ils bloquent les aides, c’est illégal.
Enfin… je dis ça, mais je sais bien que la justice se fiche du monde autant qu’eux.
Pour ma part, la CAF me fait chier aussi.
Ma situation :
– je reviens en France en Février 2014, je reviens chez ma mère.
– fin mars, je trouve du taf (intérim, au smic).
– en juillet, je décide de prendre un appart (donc loyer, factures…)
– en août je m’installe dans ledit appart et je dois le meubler en grande partie (je suis toujours au Smic)
Je pense que les APL pourraient me donner un sérieux coup de pouce, d’autant plus que l’année de référence qu’ils vont prendre (2012) j’ai pas touché grand chose : j’étais étudiant une partie de l’année et le reste je n’étais pas en France).
Entre temps, j’ai été pris en CDI dans la boîte où j’étais (si si, visiblement ça existe encore :o) avec un salaire net de (Smic net)+250€ (hors impôts).
Heu… l’APL… je l’attends encore, en fait, et on est le 4 janvier. Ma situation ayant changé depuis, c’est ma nouvelle situation qu’ils prendront en compte (ils vérifient directement à l’URSSAF la situation de chacun, à c'qu'on ma dit).
Je vis seul, pas de frais liés à une voiture à payer (mon taf est à 1km, j’y vais en vélo) et je ne suis pas du genre à bouffer au resto tous les deux jours et dépenser des cent et des mille pour des fringues au d’autres trucs, donc j’arrive à payer tout ce que je dois assez facilement. L’aide aurait juste été un "coup de pouce" bien utile pour acheter quelques meubles (une de mes tables est finalement resté un gros carton :p), mais bon, si vivre avec des meubles en carton est normal pour la CAF, pourquoi pas… Mais je le dis : c’est pas comme ça que je vais pouvoir relancer l’économie des meubles et pouvoir « consommer plus » pour « relancer la croissance » comme'il'disent.
Ce qui me gave le plus, franchement, c’est que ce soit tellement le bordel. Et que ceux qui cotisent pour ceux qui ont vraiment besoin d'aide (bien plus que moi) cotisent en réalité pour maintenir tout ce bordel en marche, sans que personne ne soit aidé.
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