Aujourd'hui, le Web est littéralement secoué par de nombreux évènements. On peut citer par exemple l'approche sournoise de lois liberticides. Mais un autre évènement moins remarqué est la véritable guerre des brevets qui s'engage en ce moment sur le web.

Des attaques à répétition

Aujourd'hui, une multitudes de procès se sont ouverts ou ont été ouverts, opposant de grandes entreprises du web telles que Google, Yahoo, Facebook, dans le but le plus souvent d'obtenir des réparations suite à une violation d'un ou plusieurs brevets.

Ainsi, on peut citer l'affaire qui a opposé au sujet de la violation d'une vingtaine de brevet dont la paternité était revendiquée par Yahoo.
De même, il faut se rappeler de l'entreprise Eolas Technology qui avait voulu posséder le web grâce à un brevet qu'elle avait déposé en 1993. ().
Plus récemment, il s'avère que l'affaire opposant , toujours à propos d'une violation de brevets va se terminer devant les tribunaux, du fait de l'inexistence d'un accord à l'amiable entre les deux entreprises.

Les conséquences d'une telle guerre

Le constat est alarmant. Ces entreprises se bouffent littéralement entre elles, engageant les procès à la suite.
Cependant, il est possible que de tels évènements aient des répercussions sur le web. En effet, pour le public averti, ces actes ont une signification claire : ces entreprises utilisent tous les moyens possibles pour faire rentrer un maximum d'argent.
Il faut se demander : le développement du web va-t-il se perdre au fin fond des tribunaux ?

Aujourd'hui, les entreprises, pour faire le maximum de profit utilise des méthodes parfois assez obscures, à la limite de la légalité. Cependant, il peut arriver que cette limite soit dépassée.

Google risque un redressement fiscal de 100 millions d'euros

D'après L'express, depuis quelques temps, le "fisc" s'intéresse aux agissements de Google en France. Il a d'ailleurs procédé en juin 2011 à une perquisition au siège sociale français de l'entreprise afin de saisir de nombreux mails, factures, et autres contrats afin de déterminer le montant de l'impôt sur les sociétés. Ils souhaitent en effet évaluer le montant des taxes que Google France est censé paye réellement.

Ce processus est parti d'un constat assez étrange. En effet, la France constitue le quatrième pays le plus important pour la société de Mountain View. Or, en 2010 elle n'a réalisé en France qu'un chiffre d'affaires de 68,7 millions d'euros contre 2,5 milliards d'euros au Royaume-Uni, soit 37 fois plus.

Il s'est avéré que Google utilise son siège Irlandais afin de facturer une partie de ses activités en France (les activités publicitaires notamment); le taux de taxation y étant de 12,5 % contre 30 % en France.
Ce procédé est légal sauf si les ordres sont enregistrés dans l'Hexagone et encaissé dans un autre pays.

De son côté Google se défend :

Google n'est pas tout seul

D'autres entreprises semblent être dans le même cas. On peut par exemple citer Amazon qui a déclaré un chiffre d'affaires de 21,7 millions d'euros en France en 2010 contre 26 milliards d'euros pour sa maison-mère.
Au Etats-Unis, des enquêtes similaires sont en cours. Ainsi, Bloomberg révélait que le fisc américain avait ouvert une enquête sur la facturation des services publicitaires de Google depuis les Bermudes.

Enfin, si Google était condamné, cela aurait des répercussions chez les autres acteurs américains qui utilisent le même procédé d'optimisation fiscale comme Apple, Facebook...

Conclusion

On aurait tort de se gêner, même si c'est embêtant pour les Etats où sont implantées ces entreprises.

Sources :

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est un logiciel disponible depuis 2005 sur de nombreuses plateformes. Il permet une visualisation de la Terre grâce à un assemblage de photographies aériennes ou satellitaires. Mais plus qu'un logiciel de visualisation du monde, Google Earth peut parfois être utilisé de façon assez insolite.

Google Earth l'aide à retrouver sa famille

En 1987, Saroo Brierley, un jeune Indien alors âgé de 5 ans mendiait avec son frère dans une gare. Malheureusement, il perdit son frère de vue et tente de rentrer chez lui par le train. Hélas, il s'endormit, et en se réveillant, il se retrouva à l'autre bout du pays.
N'étant pas capable de retrouver sa maison et sa famille, il fut placé dans un orphelinat puis adopté par une famille.

Cependant, il n'avait pas abandonné l'espoir de retrouver sa famille. Depuis quelques années, il passait donc régulièrement de nombreuses heures sur Google Earth, arpentant l'Inde dans l'espoir de retrouver des éléments familier.

Il y a quelques semaines, il reconnaît la gare de Khandwa et ses alentours d'où il perdit son frère de vue.
Il est finalement rentré chez lui il y a trois semaines.

Google Earth promeut l'insolite

Cette histoire n'est pas un cas isolé pour Google Earth. On a pu relever bien d'autres utilisations aussi bizarres.

Par exemple, Google Earth est souvent utilisé par des archéologues, aussi bien professionnels qu'amateurs pour observer des régions de haut afin de trouver des vestiges dont les marques seraient invisibles depuis le plancher des vaches. Ainsi, n'importe qui peut devenir un archéologue, bien installé dans son fauteuil.

Avec l'arrivée du mode Street View Google Map/Earth a également été un moyen de se faire connaître, pour le meilleur ou pour le pire (une reconstitution d'une scène de la saga Star Wars ou encore un homme pris en train d'uriner dans son jardin).

En 2010, Google Earth a même été au cœur d'un conflit Géo politique opposant le Nicaragua au Costa Rica à la suite d'un tracé de frontière erroné.

Conclusion

On s'aperçoit bien que l'usage de Google Earth se diversifie et que loin d'être un simple gadget, il est devenu un outil extrêmement utile.

Sources :

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Avec l'Iphone 4S, Apple avait lancé un nouveau gadget répondant au doux nom de SIRI, qui permet actuellement une utilisation plus intuitive de l'Iphone (utilisation via la voix). Faisons donc un petit retour sur ce gadget.

Un client se plaint

Frank M. Fazio, un habitant de Brooklyn a récemment déposé une plainte contre la firme Apple. Son motif ? Il estime que les publicités vantant le service SIRI affichées un peu partout ne représentent pas la réalité.

En effet, contrairement à ce qui est montré dans les publicités, il est apparemment beaucoup plus difficile d'utiliser SIRI. Par exemple, SIRI n'est pas toujours capable de comprendre ce qu'on lui demande, même pour des phrases simples. Et s'il affiche une réponse, celle-ci est parfois erronées et totalement hors de propos.
Citation à l'appui :


Apple quant à lui rappelle que SIRI est actuellement en version bêta bien que cette information n'apparaisse dans aucune publicité.

La véritable volonté d'Apple

Mais pourquoi donc Apple vendrait-il des Smartphones équipés d'un système encore en phase de développement ?
La raison est simple. Apple voulait lancer le plus tôt possible un smartphone possédant un gadget (on peut considérer SIRI comme un gadget) original, ce qui lui a d'ailleurs permis d'inciter de nombreuses personnes à se tourner vers l'achat d'un Iphone 4S.

Conclusion

Aujourd'hui, le fric est devenu tellement important qu'on est prêt à vendre des outils non terminés et non opérationnels aux gens en toute connaissance de cause et sans les prévenir. C'est scandaleux.

Après un long moment de silence, au cours duquel les concurrents de Free ont lancé contre lui de nombreuses accusations, celui a décidé de leur répondre, afin de mettre un terme à la campagne de dénigrement qu'ils (ses concurrents) ont mis en place depuis le lancement de Free Mobile le 10 Janvier 2012.

Free lance sa riposte

Depuis le lancement de ses offres, Free a été de très nombreuses fois accusé de ne pas respecter ses engagements. On peut par exemple citer l'accusation de ou encore.

Cependant, via un communiqué de presse publié il y a quelques jours, Free répond à ces accusations. Ainsi, le 4^ème opérateur français rappelle qu'il a obtenu sa licence en s'engageant sur des obligations de couverture de 27% le 10 janvier 2012 (respectée aujourd'hui), 75% le 10 janvier 2015 et 90% le 10 janvier 2018.
Il a d'ailleurs précisé que ses concurrents ont eux même bien plus triché sur leurs obligations de couverture, en ayant souvent beaucoup de retard sur les délais, comme avec le cas de la mise en place de la 3G qui n'avait été faite qu'après mise en demeure et avec plusieurs années de retard.

A propos des difficultés d'accès au réseau, Free se défend en affirmant que mettre en place un réseau dans de brefs délais est difficile, ce qui conduit souvent au recours à un système d'itinérance et provoque un trafic congestionné en zone dense.
Ce problème devrait être réglé au fur et à mesure puisque Free a déclaré avoir projeté d'installer 6.000 nouveaux sites, ce qui représenterait environ une couverture de 75 % de la population, c'est à dire la couverture prévu pour janvier 2015.

Free conclut son communiqué de presse par cette phrase plus qu'éloquente à l'intention de ses concurrents :

Free n'as pas résolu tous les problèmes

On ne doit pas parler de Free comme d'un miracle, mais plutôt comme d'une avancée dans le monde des communications.
En effet, bien qu'il ait fait baisser les prix, Free apporte en contrepartie un service pour l'instant plus médiocre.
On peut citer les difficultés pour recevoir sa carte Sim, les problèmes de compatibilité et les problèmes de paramétrages des appareils.
Enfin, il ne faut pas oublier que Free ne compte pas dans ses forfaits le téléphone, qui devra être acheté à part.

Sources :

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