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Le retour de Megaupload promis

lundi 20 août 2012 à 00:19
Kim Dotcom (fondateur de Megaupload) a annoncé le retour de Megaupload (enfin pas directement, mais de manière très explicite :) ).

Explication :

Après sa remise en liberté, le fondateur de Megaupload attend une extradition vers les Etats-Unis. Mais reste très actif et peu à peu a retrouvé sa liberté, puis son droit à se connecter à Internet. C'est ainsi que le dimanche 12 août il annonce sur twitter; je cite :
Citation : Kim Dotcom« Je sais ce que vous attendez tous. Il revient cette année. C’est promis. Plus gros, meilleur, plus rapide, 100 % sûr et inarrêtable »

Une autre annonce

Parallèlement au retour de Megaupload, Kim Dotcom a fait une autre annonce; celle d'un site de service de musique légal, baptisé MégaBox. Mais la question que nous sommes en droit de nous poser est : serait-ce une pâle copie de tous les autres sites du même style ? pas sûr ...

La fermeture de Megaupload, un boost pour les téléchargements

Et oui, malgré que Megaupload ait été fermé, le taux de fréquentations des plus célèbres services d’hébergement et de téléchargement de fichiers, comme RapideShare, a augmenté radicalement.
Et ce n'est pas tout. Hadopie a annoncé que la fermeture de Megaupload a contribué à l'augmentation de la fréquentation des services de VoD et de TV de rattrapage.

A bientôt Oznad

source :

Des mains bioniques fabriquées "maison"

dimanche 19 août 2012 à 14:31

Un chinois âgé de 51 ans se fabrique des mains bioniques!

Sun Jifa est un travailleur très courageux et il ne manque pas de talents !
Il perd en effet un jour ses mains à cause de l'explosion d'une bombe alors qu'il était en train de pêcher.
Il tente alors de se faire poser des mains bioniques mais est arrêté par les prix prohibitifs.
C'est à ce moment que le travailleur décide de se les fabriquer lui même.
et c'est 8 ans plus tard (après de nombreux prototype) qu'il arrivera au travaille escompté !
Ses nouvelles mains lui permettent de travailler comme avant, de boire, de manger... Elles bougent grâce à son coude.
Cependant, elles ont quelques défauts : elles sont lourdes et ne supportent pas les températures extrêmes mais sont peu chères à fabriquer et fonctionnent correctement.
Il réfléchit d'ailleurs à l’éventualité d'en faire profiter à d'autres personnes qui en ont besoin (Sun Jifa a peu être découvert sa nouvelle voie :) )

A bientôt Oznad

sources :

Facebook annonce qu'il supprimera définitivement des photos effacées!

samedi 18 août 2012 à 23:37
Le grand réseau social, Facebook, vient d'annoncer que les photos qu'on l'on supprime seront bel et bien supprimées! ( dans un délai de 30 jours maximum).
En effet pour ceux qui ne le savent pas encore, il est possible d’accéder a une photo supprimée si l'on connait l’adresse de celle-ci ! (Et oui, Facebook n'est pas si bien ;p ).

Cette annonce tant attendue a été faite peu de temps après qu'une photo de Marc Zuckerberg, torse nu, ait été divulguée sur son site. ( Ce n'est pas qu'une coïncidence cette annonce ;) ).

A bientôt Oznad.

Toute l'affaire Wikileaks

vendredi 17 août 2012 à 21:18
Dans cette news, je vais vous résumer toute l'histoire de Wikileaks, de la publication des documents diplomatiques à la protection de l'Équateur accordée à Julien Assange.

Au menu : un mix de mauvaise foi, de manigances politiques, et de manipulation...

Les débuts de l'affaire Wikileaks



En novembre 2010, débute l'opération "Cablegate", déclenchée par le site Wikileaks. Durant une année, jusqu'à fin 2011, près de 251 287 télégrammes diplomatiques ayant un rapport avec les États-Unis sont déployés.

Alors que Wikileaks était tranquillement hébergé aux États-Unis, les pressions politiques commencent...

Tout d'abord, Amazon cesse d'héberger le site, alors qu'aucune décision de justice n'avait agréé cet acte. Rapidement, l'entreprise est suivie par EveryDNS, qui bloque le nom de domaine "wikileaks.org". S'ensuit une période où le nom de domaine redirige vers un autre en ".info", mais on ne sait pas s'il appartient réellement à Wikileaks.

Juste après la publication de ces fameux câbles diplomatiques, Wikileaks se fait des ennemis dans le monde. Le site se réfugie donc en France, et est hébergé par le célèbre hébergeur, OVH. Le nom de domaine change à nouveau, et se termine par ".ch", le TLD suisse.

Afin d'éviter que le contenu du site soit détruit et perdu, Wikileaks lance un appel aux miroirs. De nombreux sites ont alors un miroir du site, relié à plusieurs noms de domaine à travers le monde, ce qui rend la censure difficile.

Le blocus financier

Alors que rien n'arrange les choses, voilà que 2 grandes compagnies bancaires, VISA et MASTERCARD, décident de bloquer les dons vers Wikileaks. Le manque à gagner pour ce dernier est estimé à plusieurs dizaines de milliards de dollars.

Alors que l'association FDNN (le Fond de Défense pour la Neutralité du Net) prend le relai des dons, le site essuie une attaque par DDOS, ce qui l'a rendu indisponible. La plainte de l'association reste à ce jour sans suite.

La chasse à l'homme

L'étau se resserre particulièrement sur Julien Assange, le porte-parole de Wikileaks. En août 2010, alors qu'il est en Suède, 2 femmes portent plainte contre lui pour "sexe par surprise", ce qui n'est pas un viol. La nuance se situe sur la mentalité des Suédoises. Dans ce pays, on considère que le sexe sans préservatif sans le consentement de la femme est un viol. La coïncidence est surprenante.

Dans les 2 cas, c'est la femme qui a fait le premier pas, et puis en fouillant un peu, on s'aperçoit même qu'une des 2 femmes aurait des rapports avec la CIA ! Pas très net...

Julien Assange se réfugie en Grande-Bretagne, mais la Suède demande son extradition. Par ailleurs, est délivrée par Interpol. Dans ladite notice, on voit que Wikileaks est cité, alors que le site n'a soit-disant rien à voir avec l'affaire en Suède.

Au Royaume-Uni, après avoir épuisé tous les recours légaux pour échapper à l'extradition, Julien Assange, était alors en liberté conditionnelle, avec un bracelet électronique et sous surveillance rapprochée.
L'Australien parvient cependant à échapper à la vigilance de la police, et se réfugie à l'ambassade de l'Équateur, qui lui accorde l'asile politique. En vertu de la Convention de Vienne, concernant la diplomatie internationale, Assange est en sécurité. Cependant, coûte que coûte...

Et maintenant ?

Le Royaume-Uni serait en mauvaise posture s'il s'apprêtait réellement à violer l'ambassade de l'Équateur, mais on soupçonne que l'administration Obama exerce une pression très forte sur le gouvernement anglais. Il faudra donc s'attendre à de nouvelles dérives...

Facebook scanne nos conversations à la recherche d'activités hors la loi

dimanche 15 juillet 2012 à 14:27
Le réseau social passe un nouveau cap dans l'exploitation des données personnelles de ses membres; un robot analyse aujourd'hui de manière approfondie les conversations les plus suspectes qui se déroulent entre ses membres dans un but plus ou moins louable : arrêter des criminels.

Princpe de fonctionnement

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Lors d'une interview pour le site , un responsable de la sécurité sur le réseau social a révélé que le site fondé par Mark Zuckerberg utilise un système de surveillance des conversations pour traquer les activités criminelles et les prédateurs sexuels, ce qui constitue un outil bien plus puissant que le bouton mis à disposition des utilisateurs pour alerter un contenu.
Il nous révèle également que ce système détecte les conversations les plus suspectes, comme par exemple une conversation entre 2 personnes n'étant pas amies depuis longtemps et ayant une grande différence d'âge ou alors une conversation contenant des mots suspects. Bien sûr, ce système ne pouvant être suffisant, une surveillance automatique de toutes les conversations a également été mise en place.

Citation : employé facebookUn homme d'une trentaine d'années discutait de sexe avec une jeune fille de 13 ans [...] et avait prévu de la rencontrer le lendemain après les cours. La technologie [...] de Facebook pour balayer les messages et les historiques pour repérer les activités illégales a automatiquement signalé la conversation aux employés, qui l'ont lue avant de prévenir immédiatement la police". L'homme a ensuite été interpellé le lendemain.

Rassurer les parents des jeunes utilisateurs ?

Facebook est particulièrement apprécié par les jeunes, ce qui en fait un lieu assez dangereux à cause de la présence de pédophiles et autre prédateurs. Ce système qui porte atteinte à la vie privée pourrait être une tentative de rassurer les parents des utilisateurs alors que le site envisage d'ouvrir légalement ses portes aux moins de 13 ans (rappelons qu'énormément de jeunes de moins de 13 ans trichent déjà).
Cependant, il est difficile de connaître la réelle efficacité de ce système puisque aucune données sur les arrestations qui ont suivis cette surveillance n'ont été publiées.

Conclusion

On constate aujourd'hui une affirmation du penchant Big brother chez Facebook. Même si dans ce cas, le principe est louable, on ne sait pas si les données analysées ne sont pas destinées à d'autres utilisations moins orthodoxes.