PROJET AUTOBLOG


Free Software Foundation Europe

source: Free Software Foundation Europe

⇐ retour index

Rockstar vs. Google: Software patents as a license for privateering

jeudi 7 novembre 2013 à 00:00
Rockstar vs. Google: Software patents as a license for privateering

Rockstar, a consortium of companies formed to collect certain patents put on sale in the dissolution procedure of Nortel, has sued Google and other companies over seven of those patents.

FSFE voiced serious concerns and warned competition regulators against exactly such a scenario in December 2011. Previously, the US Department of Justice had imposed limits on another, similar transaction: The buyers software company Novell's patent portfolio had to accept limits on the things they could do with the those patents. In particular, they were prevented from using them against Free Software.

But when Rockstar bought Nortel's patent, things were different. Whatever promises, if any, the US competition regulators managed to extract from the companies that make up Rockstar - Microsoft, Apple, RIM, Ericsson, and Sony - are clearly ineffective. Rockstar's CEO is even reported as publicly stating that he does not feel bound by any such commitments. The result is an entirely predictable lawsuit where a proxy company is using generic, overbroad patents in order to harm a competitor.

"Patents on software are a dangerous business risk at the best of times," says Carlo Piana, FSFE's General Counsel. "In highly competitive markets like the one for mobile devices, they are essentially a license for privateering."

This case highlights the need for regulators to monitor patent transactions tightly, and analyse their consequences carefully. Lawsuits such as this strangle innovation and impose a private tax on productive companies.

Support FSFE, join the Fellowship
Make a one time donation

Server-Spende: FSFE sagt Danke!

mardi 5 novembre 2013 à 00:00
Server-Spende: FSFE sagt Danke

Vor kurzem haben wir einen gebrauchten Server vom österreichischen Hoster abaton in Wien gespendet bekommen. Mit der neuen Maschine wird die FSFE ihre Infrastruktur ausbauen und ausfallsicherer gestalten.

"Mit dem neuen Server können wir für verschiedene Dienste eine zusätzliche Instanz zur Verfügung stellen und verschiedene Datenbanken hosten," sagt Martin Gollowitzer, freiwilliger FSFE-Systemadministrator. "Dafür bedanken wir uns sehr herzlich bei der abaton EDV-Dienstleistungs GmbH und ihrem Geschäftsführer Herbert Sojnik."

Das Hosting für die meisten FSFE-Server wird freundlicherweise seit 2009 von der OpenIT GmbH in Düsseldorf gesponsert.

Christoph Jäger (Mitte), Leiter der Sparte Hosting bei abaton, übergibt den Server an Martin Gollowitzer (links) und FSFE-Präsident Karsten Gerloff (rechts).

Support FSFE, join the Fellowship
Make a one time donation

FSFE Newsletter - Novembre 2013

lundi 4 novembre 2013 à 00:00
FSFE Newsletter - Novembre 2013Les bonnes plateformes d'expérimentation

Il y a des appareils qui ne payent pas de mine et dont personne à première vue ne voudrait. Votre éditeur a par exemple essuyé quelques moqueries quand il a acheté son Neo FreeRunner chez Open Moko. Au même moment vous pouviez trouver des appareils moins chers avec un processeur plus rapide, davantage de RAM, davantage d’espace de stockage, un meilleur design, une meilleure connectivité, de meilleurs microphones et haut-parleurs.

Pourtant, des appareils comme ceux d’Openmoko sont importants pour nous tous, même si une partie seulement d’entre nous les achète. Ils sont essentiels en tant que plateformes d’expérimentations matérielles qui aide les programmeurs à comprendre le véritable fonctionnement des ordinateurs - ce que fait réellement le code - leur permettant ainsi d’écrire de meilleurs logiciels au bénéfice de tous.

Paul Boddie a présenté un autre de ces appareils : le Ben NanoNote. Cet ordinateur est intégralement supporté par les pilotes libres fournis avec le noyau Linux d’origine. Il ne requiert aucun logiciel propriétaire, pas même au niveau des micrologiciels. Le «  Ben  » encourage l’expérimentation puisque rien ne vous empêche de remplacer son bootloader ou son système d’exploitation par les vôtres, et vous pouvez y installer les programmes de votre choix.

Les mauvaises restrictions

Les connaissances que notre communauté gagne grâce à ces plateformes d’expérimentation nous aident à contrebalancer le pouvoir des constructeurs, en particulier ceux qui utilisent des restrictions technologiques afin de nous ôter tout contrôle sur le matériel que nous possédons. Sur de nombreux périphériques ce sont les constructeurs qui décident des logiciels que nous pouvons installer, et ils ne nous permettent ni d’étudier leur fonctionnement, ni de les modifier ou remplacer. Ils décident du logiciel que nous pouvons utiliser pour lire un DVD ou de l’opérateur GSM que nous pouvons utiliser avec notre téléphone, et voudraient avoir la possibilité de supprimer à distance nos données, y compris nos livres, musiques ou vidéos.

La question qui se pose est : Allons-nous les laisser faire  ? Accepterons-nous les restrictions qu’ils veulent nous imposer  ? Si nous ne les acceptons pas, que devons-nous faire pour faire contrepoids à ces évolutions ?

Les rencontres locales

Au sein de la FSFE, nous pensons que les rencontres locales jouent un rôle crucial pour relever ce défi. Nous devons faire se rencontrer tous ceux qui s’opposent à ces restrictions et les aider à expliquer leur action au reste du monde. Comme annoncé dans la précédente newsletter, nous avons tenu la première rencontre des coordinateurs de groupes locaux de la FSFE . Il en est notamment sorti un guide pour les organisateurs de rencontres locales, ainsi qu’un ensemble de bonnes pratiques pour la bonne modération des réunions et autres événements, compilées par Lucile Falgueyrac.

Au-delà de la rencontre des coordinateurs, la FSFE a également tenu son assemblée générale annuelle à Vienne. Jonas Öberg nous fait part de sesréflexions a posteriori et Hugo Roy décrit les formalités du second jour de l’assemblée, notamment les ré-élections de Karsten Gerloff comme président et de Reinhard Müller comme trésorier. Après deux années de bons et loyaux services, Henrik Sandklef a quitté son poste de vice-président  et votre serviteur a été élu pour lui succéder.

Par ailleurs... Notre groupe de Vienne a fait découvrir le Logiciel Libre à un plus vaste public en organisant un stand d'information au Game City Fair 2013. Ils ont reçu de nombreuses questions sur la box Steam de Valve. Si vous souhaitez en savoir plus, lisez l'article de LWN " Why Steam on Linux matters for non-gamers " (Pourquoi Steam sur Linux est important pour ceux qui ne jouent pas). Guido Arnold explique le nouveau concept des réunions locales dans la région Rhin-Main. Nous avons un nouveau groupe FSFE local à Linz (Autriche) qui a publié son second rapport (en Allemand). Si vous vous intéressez aux questions politiques, sociales, économiques ou légales autour du Logiciel Libre rejoignez un groupe local et testez les conseils cités ci-avant. Notre organisation-soeur, la FSF, a organisé une célébration mondiale du 30ème anniversaire du système GNU. Elle vous demande à présent de nominer des personnes et des projets pour les 16ème Free Software Awards et celà avant mercredi 6 novembre 2013. Comme d'habitude, vous retrouverez toutes les informations sur le Logiciel Libre dans l'éducation grâce à la mise à jour mensuelle de l'équipe éducation. Le ministère Jamaicain de la Santé a adopté GNU Health tandis que le ministère du Développement allemand recommande le Logiciel Libre dans les petites et moyennes entreprises car, comme il le précise, cela permet d'ouvrir des opportunités pour les entrepreneurs en informatique et offre des ressources à long-terme pour répondre aux besoins locaux en matière de technologies de l'information et de la communication (TIC) tout en promouvant l'innovation. Nos amis de l'EFF ont montré en quoi la liberté de connaître le fonctionnement interne des logiciels est restreinte au Royaume-Uni. Consultez l'article "La spéculation au dessus de la liberté académique : le tribunal britanique censure des chercheurs en sécurité informatique pour avoir rétro-étudié un logiciel accessible à tous" (EN)". Si vous n'avez pas encore lu l'article de Ron Amadeo "La main de fer de Google sur Android"(EN)vous devriez le faire et en discuter sur nos listes de discussionl. L'article explique les évolutions récentes d'Android et montre qu'elles amènent de nouvelles formes de dépendance vis à vis du logiciel propriétaire. En direct depuis la "Planète" : Hugo Roy se demande pourquoi Facebook devrait être considéré comme une "entreprise Open Source" , explique comment configurer Firefox sync et documente quelques un des "hacks" favoris de votre éditeur, par exemple comment supprimer une partie du texte d'un email auquel on veut répondre avec mutt, sans supprimer la signature, ou comment travailler efficacement avec les zones de saisie de texte dans votre navigateur. Otto Kekäläinen écrit à propos du passé et du présent de VALO-CD, un projet rendant l'utilisation de Logiciels Libres aussi simple que possible pour les débutants, et discute d'un futur possible qui pourrait être la LibreKey. Que faut-il à l’Open Data pour réussir, pourquoi peut-il échouer  ? Carsten Agger, notre coordinateur local pour Aahrus (Danemark), nous livre une transcription de sa présentation sur le sujet. Jonas Öberg se remémore ses débuts avec le Logiciel Libre. Daniel Pocock parle des efforts de Debian pour promouvoir le rôle des femmes et des projets du Google Summer of Code 2013. Nikos Roussos a participé au Sommet Mozilla et explique comment construire un site statique rapidement avec ember.js et handlebars.js. Si vous souhaitez installer une PirateBox, Thomas Kandler vous donne quelques astuces. Notre nouveau stagiaire Max Mehl s'est penché sur l'organisation des mini-tâches via emails dans Thunderbird Lucile Falgueyrac a résumé ce qu’il faut savoir pour préparer vos documents pour l’impression. Les autres sujets abordés incluent le choix de réglages user-friendly par défaut, la correction d’un bug de Fedora 19 qui rendait l’écran de veille impossible à déverrouiller, et des nouvelles du projet NoFlo. S'impliquer : Ils ne veulent pas que - mais, vous, que voulez-vous ?

Comme expliqué plus haut, nous ne voulons pas que les gens se résignent à accepter les restrictions imposées sur leurs appareils. Nous voulons un moyen facile d’informer un plus large public de l’existence de ces restrictions. En particulier, nous voulons donner aux plus jeunes un moyen de montrer qu’ils ne les acceptent pas. Pour cela, le 4 novembre nous avons lancé le site TheyDontWantYou.To et, avec nos organisations partenaires, nous avons commencé à diffuser sur les sites de micro-blogging des messages marqués #theydontwantyouto, mettant en évidence les restrictions que nous dénonçons.

Aidez-nous à répandre ces messages, diffusez-les auprès de vos amis, parlez-en sur votre blog, collez nos stickers. Et faites-nous connaître les restrictions auxquelles vous êtes confrontés dans votre vie quotidienne.

Merci à tous les Fellows et donateurs qui rendent notre travail possible, Matthias Kirschner - FSFE

-- Free Software Foundation Europe FSFE News Evénements FSFE à venir Aggrégation des blogs Fellowship Discussions Free Software

Support FSFE, join the Fellowship
Make a one time donation

New Campaign launches: TheyDontWantYou.To

lundi 4 novembre 2013 à 00:00
Today FSFE launches a new campaign to make young people aware of the digital restrictions that they tolerate. Microblogging and guerilla stickering form core components of this fresh strategy for engaging youth in fighting for digital freedom.

Support FSFE, join the Fellowship
Make a one time donation

Internet-Anbieter: Routerzwang schadet Nutzern

lundi 4 novembre 2013 à 00:00
Internet-Anbieter: Routerzwang schadet Nutzern

Internet-Anbieter zwingen ihren Kunden oft Router auf, über die diese keine Kontrolle haben. Der Anbieter hält dabei die Zugangsdaten für den Internet- und Telefoniezugriff sowie verwendete Protokolle und Anschlüsse vor dem Kunden geheim.

Die Free Software Foundation Europe (FSFE) macht sich deshalb zusammen mit Ehrenamtlichen verschiedener Freien-Software-Initiativen für die Freiheiten der Verbraucher und des Wettbewerbs stark. Die FSFE hat eine ausführliche Stellungnahme an die Bundesnetzagentur (BNetzA) verfasst. Auch die Stiftung Warentest hat auf dieses Problem hingewiesen.

Bereits im September hatte die FSFE die Bundesnetzagentur über diese Problematik informiert. In der heute verschickten umfassenden Stellungnahme hebt die FSFE die Bedeutung der Wahlfreiheit des Kunden heraus, plädiert für die Nutzung Freier Software und Offener Standards, und fordert die Agentur auf, den freien Wettbewerb zu verteidigen.

Der Zwang, einen bestimmten Router zur Einwahl in das Internet und die Nutzung von Telefonen verwenden zu müssen, verursacht Probleme: Die Abhängigkeit von Herstellern sorgt für die Errichtung von geschlossenen Systemen. Diese sind besonders anfällig für Angriffe aus dem Internet, da sie seltener mit Sicherheitsupdates versorgt werden und nicht auf langfristigen Support ausgelegt sind.

Der Zwang zur Nutzung eines Routers, der durch den Anbieter kontrolliert wird, kann zu zahlreichen Problemen führen, wie Inkompatibilitäten mit VoIP-Telefonen, Streamingdiensten oder Onlinespielen. Auch die Nutzung eigener, vorhandener Geräte und Dienste wird durch den Routerzwang erschwert oder unmöglich.

Dadurch können Verbraucher keine eigenen Geräte mit breiterem Funktionsumfang und besseren Einstellungsmöglichkeiten nutzen. Neben der bedenklichen Folgen für die Sicherheit der Kunden und deren Netzwerke wird so auch die technische Weiterentwicklung erheblich gebremst.

Die FSFE fordert die Bundesnetzagentur auf, ihrer Aufgabe als Hüterin des Wettbewerbs und der technologischen Weiterentwicklung treu zu bleiben und sich klar und rechtlich verbindlich gegen die Praxis des Routerzwangs auszusprechen.

Support FSFE, join the Fellowship
Make a one time donation