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Blog de Thomas Kowalski

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Je ne veux pas que vous lisiez cet article

dimanche 29 avril 2012 à 13:27

Vous n’avez sûrement pas compris le titre, non ? Je suis sûr

que vous pensez que je veux que vous ne lisiez pas cet article. Or, c’est faux! En effet, chaque jour, vous êtes des millions (estimation de moi) à vous
tromper sur cette phrase :

Je ne veux pas que tradadim doum doum

Le tradadim doum doum exprimant la suite de la phrase, qui peut être
“que tu ailles sur Internet”, “que tu aies une mauvaise
note” ou tout ce que vous voulez d’autre…

Oui, en effet, chaque jour, vous vous méprenez sur cette
phrase, pourtant pas si compliquée que ça. Regardez bien. Quand vous dites :

Je veux que tu manges cette pomme

Vous obligez celui à qui vous vous adressez à manger la
pomme. Cette phrase exprime l’obligation.
Maintenant, quand vous dites :

Je ne veux pas que tu manges cette poire

Vous n’exprimez pas l’interdiction, non, mais l’absence d’interdiction et d’obligation
qui, soit dit en passant, n’a rien d’utile ; c’est comme si vous disiez :

Tu peux dormir mais tu n’y es pas obligé.

Même si mon exemple est nul. Beaucoup de gens ne comprennent
pas ce que j’explique. En fait, ce qu’il faut dire, c’est :

Je veux que tu ne manges pas cette pomme

A ce moment-là, vous dites à la personne qu’elle est obligée de ne pas la manger, c’est-à-dire qu’il lui est interdit de la manger.
Et c’est bien ceci qu’il faut dire.

Je ne veux pas que vous lisiez cet article

dimanche 29 avril 2012 à 13:27

Vous n’avez sûrement pas compris le titre, non ? Je suis sûr

que vous pensez que je veux que vous ne lisiez pas cet article. Or, c’est faux! En effet, chaque jour, vous êtes des millions (estimation de moi) à vous
tromper sur cette phrase :

Je ne veux pas que tradadim doum doum

Le tradadim doum doum exprimant la suite de la phrase, qui peut être
“que tu ailles sur Internet”, “que tu aies une mauvaise
note” ou tout ce que vous voulez d’autre…

Oui, en effet, chaque jour, vous vous méprenez sur cette
phrase, pourtant pas si compliquée que ça. Regardez bien. Quand vous dites :

Je veux que tu manges cette pomme

Vous obligez celui à qui vous vous adressez à manger la
pomme. Cette phrase exprime l’obligation.
Maintenant, quand vous dites :

Je ne veux pas que tu manges cette poire

Vous n’exprimez pas l’interdiction, non, mais l’absence d’interdiction et d’obligation
qui, soit dit en passant, n’a rien d’utile ; c’est comme si vous disiez :

Tu peux dormir mais tu n’y es pas obligé.

Même si mon exemple est nul. Beaucoup de gens ne comprennent
pas ce que j’explique. En fait, ce qu’il faut dire, c’est :

Je veux que tu ne manges pas cette pomme

A ce moment-là, vous dites à la personne qu’elle est obligée de ne pas la manger, c’est-à-dire qu’il lui est interdit de la manger.
Et c’est bien ceci qu’il faut dire.

Concours d’orthographe : je couvre l’événement

samedi 28 avril 2012 à 07:27

Cet article est mis à jour en direct

Voilà. Il est apparemment 13:26 à GMT+ 4. Je suis le seul à du collège à être là. Serions nous nuls en orthographe à Trois Mares? Malgré les dictées faites en cours de soutien de français juste avant de manger, le lundi matin? Peu importe, ça y est je suis dans la salle et, comme par hasard, je suis tout devant. Je complète ma feuille et je reviens!
Voilà qui est fait. On écoute la radio. Les animateurs racontent une histoire et ont l’air drogués. Bref, la radio à été éteinte. Mais c’est marrant.
Que dire d’autre? Ça commence à deux heures, j’attends, ils attendent, nous attendons.

Ça y est. On a eu des trucs pour nous récompenser d’être allé jusque là et on a eu un discours du maire, mais pas trop long alors c’est allé. Ce qu’on a eu :
– Une clé USB
– Un livre de contes réunionnais
– Un diplôme
– Un goûter
Bref, j’espère que j’irai à l’étape suivante, sur ce, je regarde la route je veux pas avoir mal au ventre pour manger ma glace.

Et si l’Historique Web de Google n’était pas diabolique…

dimanche 22 avril 2012 à 07:32

Aïe ouille ! Je sens déjà les “défenseurs de la vie privée” me taper dessus. Personnellement, jusqu’à il n’y a pas longtemps, j’étais d’accord avec eux. Maintenant je le suis un peu moins. Déjà, il faut savoir que l’Historique Web ne conserve que vos recherches, pas les pages que vous visitez, quoi que ce serait possible en sachant sur quel lien vous avez cliqué dans les résultats de la recherche, mais pas pour les pages d’après. Non, il y a quelques temps, j’avais désactivé directement après la création de mon compte l’Historique Web. Et là, je l’ai réactivé. Certes, Google va savoir que je fais des recherches sur Salvador Dali, certes il va savoir que je regarde où en est mon blog dans la recherche “thomasinthesky”, certes il va savoir que je ne me souviens jamais de l’adresse de l’ENT de l’académie de la Réunion et que j’ai la flemme de la mettre en favori, certes il va savoir que je vais regarder des photos sur 500px et Flickr, des vidéos sur YouTube et DailyMotion et des textes sur Facebook. Mais alors ? De toute façon, l’Historique Web n’est presque rien. La plupart des sites Internet ont Google Analytics, et donc, il suffit que Google regarde si vous avez son cookie et il peut savoir sur quel page le compte pouknouki@gmail.com est allé à 12:16. Et alors ? En fait, l’historique Web n’est que la façon “gentille” pour Google de vous espionner. De tout façon, s’ils le font, autant exploiter cette fonction, non ? Mettez vous bien ça dans la tête. En plus, l’Historique Web est très utile. Regardez, démonstration :

  • A 10:24, je fais mes recherches au C.D.I. pour mon exposé.
  • A 12:16, je regarde dans Google où en est mon nouveau blog.
  • A 16:57, je télécharge une application dans le Play Store et je recherche si Barack Obama est sur Twitter.
  • A 19:23, je recherche comment gérer le clic d’un bouton créé dynamiquement en Visual Basic.NET.
  • A 20:35, je regarde mes notes sur l’ENT.

Le lendemain, je retourne au C.D.I.. Malheureusement, hier j’ai oublié ma clé USB et je n’ai donc pas pu enregistrer l’adresse de la page où je pouvais trouver toutes les œuvres de Dali. Je vais dans l’historique web et je le trouve en trois secondes. Je veux montrer une photo que j’ai trouvée hier midi et que j’ai trouvée super belle ? Deux minutes et c’est retrouvé.

Google vous traque, vous n’avez pas le choix, à part si vous utilisez Ghostery (et donc Firefox). Mais au fond, si Google vous traque, utilisez ce traquage pour vous. Ne le laissez pas complètement à Google.

Un nouveau Google Bombing ?

mercredi 18 avril 2012 à 16:45

Ah ah ah ! Google serait-il victime d’une nouveau Google Bombing ? En tout cas, on peut se demander. Alors que je faisais des recherches pour la S.V.T. (on fait de la génétique), j’ai par hasard, sans le faire exprès, cliqué sur “Images”. Le résultat de la recherche “trisomique” donne ça :