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L’importance de la communauté Android

mardi 26 juin 2012 à 05:07

Oui, encore un titre tout pourri. Et puis après tout, c’est vous qui choisissez entre iOS et Android. Mais aujourd’hui je ne vais pas vous parler d’Android en général, pas d’Android que mettent Samsung, Motorola, LG ou toutes les marques faisant des téléphones. Parce que c’est à cause d’elles que certaines personnes ont une mauvaise image de ce système si différent. Parce que, à vrai dire, quand j’ai eu mon iPod, je n’ai jamais vraiment trouvé de gens qui faisaient des trucs, comment dire ça ? Qui aimaient vraiment ce qu’ils faisaient et faisaient des choses originales (à part deux trois qui ont mis Android sur iPhone, et d’autres inutilités du genre). Parce que je vais vous l’avouer, quand j’ai eu mon téléphone, j’ai eu beau être convaincu dans l’ensemble, c’était loin d’être parfait : batterie à la ramasse, lanceur lent, interface moche… C’était Android 2.1 (et aussi 2.2 quelques semaines après). Mais rapidement, sur le forum de FrAndroid, qui m’a aidé plus d’une fois, j’ai découvert quelque chose qui m’a énormément plu : CyanogenMod. Alors qu’est ce que c’est pour que j’en parle aussi bien ? C’est un Android modifié qui enlève une bonne partie de les trucs mis par défaut par le constructeur : lanceur, applications inutiles (Deezer par exemple, faut payer pour écouter la musique, sans moi), qui remplace certaines autres, augmente légèrement la fréquence du processeur et surtout vous permet de passer à la version supérieure d’Android. Point très important. Et c’est là dessus qu’on se rend compte qu’il existe une vraie communauté, plus que pour l’iPhone (j’en reparle après). Malheureusement pour moi, mon premier test de CM s’est soldé par un échec. Je ne sais plus pourquoi, je crois que j’avais bien le téléphone (opération similaire au JailBreak, qui fait de vous le véritable administrateur de l’appareil, et pas l’utilisateur), bien installé le Custom Recovery (genre de BIOS qui vous permet d’installer une autre version d’Android), mais ça avait bugué. Non mais bref, c’est trop long à expliquer, tout ce dont il faut se souvenir c’est que ça a raté parce que j’avais pas installé la bonne archive ZIP (CM est sous forme de fichier ZIP installable dans le recovery, mais comme le recovery avait mal été installé, j’avais essayé de renommer le ZIP de CM en”update.zip” parce que dans le recovery par défaut (celui de Motorola où on peut réinitialiser le téléphone), il y avait une option “apply update.zip from sdcard”.). Et là, boum ! Il était bloqué au démarrage sur le logo du préboot, qui se fait avant le démarrage (dit boot)Et donc, j’ai rapidement été aidé par leforum de FrAndroid, qui m’a rapidement donné des indications pour remettre le téléphone en fonction. Ensuite, j’ai réussi à installer CM7 (la version avec Android 2.3) et j’ai utilisé cette dernière pendant un truc ressemblant à six mois, jusqu’à qu’une version à peu près stable de la nouvelle version de CM sorte : CM9, avec Android 4.0.4 dessus. Impressionnant ! C’était franchement magnifique, et je dirai ça sans aucun a priori, plus beau que l’iPhone. C’est à partir de là que j’ai découvert la vraie communauté, celle de xda-developers. Ceux qui font CyanogenMod. Preuve de la puissance de ce forum : après un message  de demande de rapports de bugs sur CM9, passée une heure, 44 pages de 10 messages étaient remplies ! Pas mal, hein ? Et dedans vous pouviez trouver tout : aide de résolution de problèmes d’appareil photo, résolution de durée de vie de la batterie. Incroyable. Et après, vous avez aussi tous les gens qui font des trucs super utiles : récupération de S-Voice, thèmes, applications diverses. Quand on voit les forums sur l’iPhone, on a l’impression qu’il n’y a personne, alors que là, c’est bien vivant.

P.S. : Un jour, je suis revenu avec CM7.1 (version 2.3 d’Android). J’ai trouvé ça d’une mocheté assez incroyable. Je comprends pourquoi les iPhoniens trouvaient Android moche. Ils avaient raison. Plus maintenent. Android 4 est beau et rapide. Et Apple a beaucoup de retard là dessus. (Encore une fois sans a priori)

Je suis nul pour trouver des titres

samedi 23 juin 2012 à 11:40

Dommage que ça fasse moche si on ne met pas de titre, parce que sinon je n’en mettrai jamais, simplement parce que ça peut donner au lecteur l’envie de ne pas lire l’article, ce qui est fâcheux pour moi, mais, si j’en mets un comme celui de cet article, ça donne encore moins envie, et si je n’en mets pas du tout ça fait planter IFTTT. Donc je n’ai plus qu’à espérer que mon lectorat me fait confiance et n’a pas besoin de titre accrocheur pour venir les articles passionnants que j’écris à mon bureau en général quand je n’ai rien à faire (et surtout quand j’ai quelque chose à dire). Bref. Depuis mercredi, nous sommes en vacances, parce que jeudi et vendredi prochains, nous passons le brevet. Voilà une bien bonne idée de nous congédier pour que l’on révise. On a donc depuis jeudi dernier (puisque logiquement c’était le dernier jeudi de l’année) organisé des fêtes dans à peu près toutes les matières. Mais pas en technologie. Non, parce qu’en technologie, nous avons fait notre concours-concert (et inversement). La question que vous vous posez tous est probablement “Qu’est ce que c’est ?”. Question à laquelle je répondrai que je trouve ça assez logique, et que vous avez mal posé votre question. En fait, pour vous expliquer pourquoi nous avons fait ce concours concert je vous explique que, en troisième, tous les élèves sont censés, en technologie, faire un projet (choisi par le prof). Or, notre projet était de faire une musique grâce à un logiciel de MAO (appelé eJay). Bonne idée, apparemment. Là où survient le problème c’est qu’on était censés faire chaque mercredi un petit bout de notre musique jusqu’à arriver, le dernier jour, au son parfait. Malheureusement, notre classe n’a pas toujours avancé au rythme maximum (même s’il paraît qu’on est les meilleurs) et, avant mars, nous n’avons jamais eu l’occasion de prendre en main le logiciel. Pourtant, le professeur nous avait bien montré plusieurs fois comment s’en servir, on s’était même un peu ennuyé (et hop une litote, figure de style, c’est bien pour réviser pour l’épreuve de français). Nous avons donc, en mars commencé notre musique, mais il y a un problème dans notre classe (et là dessus je pense pas qu’on soit les seuls) : quand on n’a aucune obligation vraiment “importante” – par exemple une note, une punition si on n’a rien fait – eh bien on n’avance pas (heureusement que moi dans mon groupe j’étais là, et même heureusement² parce que moi j’ai avancé le plus vite que j’ai pu et l’autre n’a pas fait grand chose…). Tous les autres n’ont rien fait jusqu’aux deux dernières séances. Mais seulement voilà, moi je n’étais pas là à l’avant dernière. Heureusement que j’avais avancé. Mais bon, arrêtons de parler de ça, puisque ce n’est pas de ça que je veux me plaindre. Finalement, on est arrivé à un truc passable à mon avis, mais c’était excusable, le logiciel était quand même pas si extraordinaire que je le pensais. Mais le moment de l’année où c’est devenu le plus ennuyeux (restons polis) ça a été mercredi. Parce que mercredi les autres de la classe sont venus élire la meilleure musique de la classe (en fait en technologie, trois classes on cours en même temps, les deux tiers de chaque professeur restent avec lui, et les trois tiers restants vont avec un troisième professeur, ne me demandez pas pourquoi c’est comme ça…). Ils avaient chacun une feuille. Le professeurs passaient deux musiques l’une après l’autre et la meilleur restait. Après il en passait deux autres et la meilleure restait et affrontait la meilleure de la première paire. Et ça en deux fois. Après il en restait deux, puis une qui était la gagnante. Comme au tennis. Seulement, bien que une fois, ça aille, deux fois passent, la troisième fois qu’on entend la même musique pourrie (oui faut avouer que c’était pas du Mozart, du Bach, même pas du Cleyderman), et qu’on sait déjà la quelle des deux on va choisir et qu’on est même pas dans le jury, c’est chiant. Très chiant. En plus, chaque musique et chaque élimination (où on voyait les noms des élèves du groupe éliminé) était accompagné d’un bruitage tout pourri saturé d’applaudissements, le tout présenté sur un PowerPoint orné de magnifiques textes en… Comic Sans MS. Ah que je déteste cette police ! Voilà, c’était un post très long pour dire qu’il n’était pas nécessaire de passer à chaque fois les musiques, d’arrêter d’utiliser le Comic Sans MS et d’enlever les sons d’applaudissements, monsieur le professeur de technologie.

Swype

vendredi 22 juin 2012 à 06:41

Nom : Swype Beta
Type : Application Android (Clavier)
Prix : Gratuit
Auteur : Nuance
Langue : Site en Anglais/Application en Français 

Quelle version d’Android avez-vous ? Peu importe, vous vous êtes sûrement rendu compte que le clavier par défaut est loin d’être parfait, qu’il peut servir le premier jour, la première semaine, le premier mois à la limite mais que le correcteur orthographique n’est pas à la hauteur et le reste non plus. Je vous en propose donc un autre : Swype. Il est gratuit (contrairement à Swiftkey X, par exemple qui est aussi un excellent clavier) et propose énormément de fonctionnalités :

EDIT : Voici quelques problèmes de Swype : le “ç” est très mal placé (il n’est pas dans la touche C comme “é” dans E, il est à côté de la touche retour arrière. Si on écrit trop vite normaelement, le clavier prend ça comme si vous vouliez Swyper, et ça fait un truc bizarre.

Bien sûr, cette version est encore en Beta, mais je n’ai pour l’instant eu aucun bug. L’installation est simple, mais si vous voulez de l’aide, rendez vous juste ici :

Aide pour l’installation de Swype
  1. Inscrivez vous ici : http://beta.swype.com/android/create/Après l’inscription, vous allez recevoir un e-mail contenant un code. Conservez ce code sous la main, on va en avoir besoin.
  2. Comme indiqué dans l’e-mail, rendez vous sur : http://beta.swype.com/android/get/ avec votre téléphone Android ou téléchargez cette version datant du 21 juin 2012 (celle que j’ai téléchargée hier)
  3. Installez l’application sur votre téléphone et lancez la.
  4. L’application va vérifier la version puis vous demander de vous connecter. Touchez le bouton “Login”. Entrez l’adresse e-mail d’inscription ainsi que votre mot de passe puis cliquez sur “Login” en bas [Capture]. Le bouton va se griser le temps qu’il vérifie les identifiants puis passer à l’étape suivante.
  5. Entrez le code reçu dans l’e-mail. (Là je n’arrive pas à avoir cette fenêtre car Swype est déjà installé chez moi. En tout cas essayez de passer à l’étape suivante.)
  6. Touchez “Swype Beta” puis touchez le bouton “Download Swype”. Attendez la fin du téléchargement. Ceci peut prendre quelques minutes.
  7. Un guide de démarrage va s’afficher. Comme demandé, pour la première étape du guide, vous pourrez aller dans les réglages des claviers. Cochez le clavier “Swype Beta” et validez le message d’Android [Capture].
  8. Revenez au guide. Il va vous ouvrir une fenêtre pour le clavier à utiliser, choisissez encore une fois “Swype Beta”.
  9. Après, vous aurez les langues. Par défaut, j’avais l’anglais et l’espagnol. Rendez vous dans “Télécharger des langues” et sélectionnez le français. Attendez que ce soit terminé. Vous pouvez faire différents réglages dans Swype.

L’installation est maintenant terminée !

Swype 1 Swype 3 Swype 2

Ca sent la fin…

mardi 19 juin 2012 à 06:43

Oui, l’année est passée si vite ! Je me souviens encore de mon arrivée en troisième, de la bonne surprise du prof principal – qui est aussi mon prof de maths – et mon retour à la maison l’après midi. Je me souviens de tellement de détails ! En rentrant, je me souviens d’avoir regardé Phinéas et Ferb, deux épisodes jamais vus ! Après je suis allé sur mon blog, encore sur EklaBlog pour écrire un article révoltant sur les publieurs de podcasts d’Europe1 ne sachant pas écrire “le bruit des bols est terrible pour ceux qui passe des examens”. Et après, je sais plus ce que j’ai fait, mais en tout cas j’étais bien. Et quelle année ! Année de la programmation, pour la première fois, j’ai vraiment programmé des programmes (oui pas des pommes de terre) moi tout seul, l’année de Citrik Digital, avec un nom de domaine, l’année d’Android, avec mon Defy, puis ce problème, puis la découverte de l’énorme communauté qu’est ce système d’exploitation, la découverte de CynogenMod qui me permet aujourd’hui d’avoir Android 4.04, alors que je suis censé être bloqué en 2.2.2. Quelle année ! L’année du snowboard, aussi, l’année de la photographie, avec 500px. L’année de bien d’autres choses en somme. Mais c’est déjà fini, qu’est ce que c’est passé vite ! Le changement de professeur de SVT, on est passé du soporifique à quelqu’un qui avait l’air de nous poser des questions pas pour savoir si on était intelligent ou si on avait appris les leçons ou encore étudié les documents, mais plutôt pour savoir si on avait la réponse, parce elle non. Le changement aussi de professeur de physique, croyez moi quand la “vraie” est arrivée le brouhaha habituel s’est rapidement changé en calme plat. Presque trop plat. Et enfin un club informatique presque tous les midis – trois sur quatre – c’était beaucoup mieux qu’avant. Oui, ça sent la fin de l’année, depuis quelques jours, les derniers cours se passant, on a fait presque que manger (sauf en physique :) ou on a fait un arôme de banane). On voit que ce n’est plus la peine d’aller en permanence, on peut rester dehors. On voit aussi les élèves artistes – pas très artistes, mais il se considèrent comme aptes à jouer dès qu’ils savent plaquer trois accords à la guitare – qui viennent et jouent dans la cour, enchaînant les fausses notes… Cette fin se voit aussi par le fait qu’on ne fait plus rien en sport, et cela depuis la semaine dernière. Finalement, j’ai beau vouloir aller au lycée, je sens que je vais regretter les années au collège, les surveillants et les professeurs que je connaissais. Au revoir.

Histoire des Arts, mais y aura t-il une Histoire de l’épreuve d’Histoire des Arts ?

dimanche 27 mai 2012 à 11:18

Ca va vous ? Moi ça va, depuis vendredi à 11:20. Mais avant, et ce depuis le début de la semaine, pour ça il y avait une bonne raison : je passais mon épreuve d’histoire des arts le vendredi. Ah, c’est vrai, vous n’êtes peut être pas en troisième ni dans le domaine de l’éducation, alors attendez quelques secondes que je vous explique de quoi il s’agit. Depuis la rentrée scolaire, à peu près tous les profs nous ont parlé de ça. Le concept, c’est qu’on vous apprend des choses sur des œuvres, et vous devez bêtement réciter celle d’un sujet tiré au hasard devant un jury qui a l’air aussi intéressé par ce que vous lui racontez que par les sondages en faveur du dernier candidat aux présidentielles en Moldavie, c’est à dire pas beaucoup. Nous, on avait quatre œuvres, les élèves de l’an prochain en auront six, et ceux de l’année d’après huit. Et après, on n’en rajoute plus (faut quand même pas déconner !). En plus, vous devez rajouter une oeuvre “complémentaire” c’est à dire personnelle que vous choisissez et que vous présenterez qui concerne de préférence la seconde guerre mondiale et c’est encore mieux si elle est engagée (que son auteur veut faire passer un message). Passionnant, non ? Moi, je trouve le concept pas mauvais, mais mal mis en oeuvre (si je puis dire). Ca fait rater des cours (je crois que ça nous a déjà fait perdre au moins une semaine, avec les cours d’arts plastique loupés, ceux de musique aussi, l’heure de français de toutes les semaines consacrées à ce truc et les longues explications et listes de questions en histoire tout court. Du temps perdu. En plus, ce n’est pas du tout équitable : il suffit que vous tombiez sur un jury qui n’est pas intéressé (par l’histoire de l’art ou par  votre oeuvre personnelle – ou qui ne vous aime pas pour une cause ou une autre -) et vous êtes dans la m… Pour illustrer ceci, je vais prendre un exemple : celui de Trevör. Trevör, qui avait eu une idée originale, comme d’habitude en fait, je dirais même une bonne idée. Seulement voilà, c’était une bonne idée selon moi. D’ailleurs, je savais déjà qu’il aurait un problème avec ça et je lui ai dit de ne pas prendre cette idée au sérieux, mais Trevör a ses raisons que la raison ne connaît pas. Et il a finalement pris comme il l’avait décidé, roulements de tambours… l’iMac. Et pas le dernier, non, le premier. Là, je suis sûr que vous êtes d’accord que ce n’est pas une oeuvre, que ce n’est que du marketing, et que ça n’avait rien d'”unique”. Argument que je réfute : une chanson l’est-elle ? Un film l’est-il ? A ce titre, il n’y a qu’un dessin qui le soit, sauf s’il est copié reproduit par un autre “artiste”. Alors, que lui est-il arrivé ? Simple : le jury, quand il a présenté l’oeuvre complémentaire, s’est moqué de lui. Les professeurs ne l’ont pas laissé parler pour lui dire qu’il n’avait pas dit ceci ou cela, alors qu’il voulait le dire après. Et cerise sur le gâteau, quand il est sorti, une des deux profs a déclaré, assez ironiquement paraît il : “Tiens, je viens d’apprendre que j’ai une oeuvre d’art dans mon placard”. Certes, elle a pas tort, mais moi j’aurais eu la politesse d’attendre que l’élève sorte avant de le dire. Mais passons à la question importante : à quoi va servir l’Histoire des Arts dans la vie d’une personne ? De surcroît, d’une personne qui se fout complètement de ça (comme la plupart des élèves de mon collège) ? De pouvoir placer un jour dans un conversation une comparaison aux “Estropiés de Guerre Jouant Aux Cartes” d’Otto Dix ? De pouvoir dire qu’on connaît Arno Breker. De dire qu’on connaît un grand réalisateur – Roman Polanski – ou encore dire que Boris Vian était un poète engagé extrêmement intelligent, cultivé et pacifiste ? Vous vous voyez dire ça un jour, vous ? A quoi ça sert, à part à perdre des cours, faire stresser les élèves, mettre des mauvaises notes parfois, faire rater le brevet à quelqu’un ? Ah, c’est pour préparer l’oral de français au Bac… Cherchez une autre idée, celle ci n’est pas bonne.