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"C'est aussi la première fois que je vois une distinction entre "raciste" et "e-raciste", là encore, WTF !"

Non m'enfin là il faut faire un petit effort quand même... Ou aller voir un ophtalmo je sais pas...

"un⋅e raciste" Un, point médiant, e, espace, raciste. C'est pas comme si ça faisait deux jours que les liens vers des infos sur le langage épicène tournaient sur les shaarli...

"À propos de l'expression « néologisme inventé » → Pléonasme inutile."

"Un néologisme inventé à des fins extrémistes" Si c'est un pléonasme je fais quoi ? Je supprime inventé ? "Un néologisme à des fins extrémistes." C'est sûr que c'est plus compréhensible... Oh wait ! Peut-être est-ce que c'est un passé simple et pas un adjectif ?

Bref, si vous refusez à ce point de connecter vos neurones je peux rien pour vous.

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Maintenant pour les autres "arguments" :

"Ceux que appelez à tort des "carnistes" sont des omnivores." > Ceux qu'on appelle à juste titre des carnistes sont des personnes qui considèrent comme légitime l'exploitation animale. Donc des omnivores qui pourraient choisir de ne pas manger de produits résultants de cette exploitation mais qui choisissent de le faire.

Et celleux qui défendent ouvertement le droit d'exploiter les animaux (parce que non tout n'est pas noir ou blanc et je fais la distinction entre l'omnivore inconscient et le carniste volontaire t'as vu ?) ne méritent à mon sens pas plus de respect que quelqu'un qui aurait des positions ouvertement anti-féministes, racistes ou libérales.

"Je te rappelle que nous faisons AUSSI partie du règne animal (ou alors vous considérez-vous comme des "êtres supérieurs", ce qui serait ridicule)" => Hop un appel au ridicule, joli.
Nous faisons partie du règne animal mais nous avons une culture. L'Humain s'est évincé de sa nature depuis tellement longtemps qu'il ne reste plus grand chose de naturel dans notre *comportement* (Je met de l'emphase là dessus parce que je sens bien qu'on va me troller avec des besoins naturels, je parle de COMPORTEMENT)
L'Humain est sensé avoir un truc qui malheureusement se perd et qui s'appelle l'éthique. L'Humain a tellement d'options à sa portée qu'il peut FAIRE LE CHOIX de ne pas suivre sa nature et d'arrêter de consommer des produits animaux.
Mais si tu veux tellement manger de la viande en paix avec ton côté animal et vivre selon ta nature pourquoi ne pas aller jusqu'au bout et partir vivre tout nu dans la forêt ? Histoire de voir ce que tu vaux comme prédateur (chasseur/cueilleur) ? On en reparlera de l'état naturel des choses à ce moment.

"Pour les végans, boire du lait et ses délicieux dérivés, manger du miel, manger des œufs est le fait d'un "carniste"." > Délicieux, comme si tu n'avais pas lu que ce qui compte c'est pas notre préférence personnelle tant qu'il y a exploitation.

Le lait, en plus d'être inadapté à notre organisme (pourquoi tu crois que ça se digère mal ?) est obtenu en rendant des vaches enceintes pour qu'elles en produisent en continu. Pas de veau = pas de lait. Donc pour avoir du lait soit on a un taureau (je rappelle au passage que les bœufs sont des taureaux castrés, rien que ça) et on attend que nos vaches soient fécondées et accouchent, là si le veau laisse du lait on pourra peut-être en prendre, soit on force la reproduction et on vire le veau pour pas qu'il boive "notre" lait.

De plus les outils de trayage irritent leurs mamelles ce qui cause des infections et la contamination du lait aux bactéries, aux cellules inflamées et aux antibiotiques qu'on leur donne pour qu'elles tiennent le coup.

Le miel est purement et simplement du vol de nourriture aux abeilles qu'on remplace par un composé sucré bien moins nutritif (sinon on en mangerait à la place du miel et on leur foutrait la paix) et elles sont pas très jouassent quand vient la récolte sinon leur exploitant aurait pas besoin de se protéger et de les assommer à grand coups de fumigènes.

Concernant les œufs le débat est permis étant donné que la poule pond de manière régulière qu'elle soit fécondée ou non et qu'elles ne les couvent pas forcément. Le problème avec les oeuf c'est essentiellement les conditions d'élevage des poules et des poussins qui se font trancher le bout du bec et les pattes pour ne pas se blesser elles même ou les autres poules dans les endroits exigus où elles se trouvent. (Et les élevages en plein air ne sont que des enclos où les poules sont suffisamment compressées pour ne pas pouvoir se déplacer et doivent picorer sur place au milieux de la fiente de leurs congénères.)

Donc je réitère, mettez de l'ordre dans votre dissonance cognitive et si vous culpabilisez, faites en sorte que la situation pour laquelle vous vous sentez coupable cesse, mais venez pas chouiner sur celleux qui vous expliquent comment ça se passe.
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De l'usage éthique de la parole.
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Vous savez, quand on dit d'un⋅e raciste qu'ille est raciste, ille a beau être vexé⋅e et protester ça ne change rien au fait qu'ille participe activement à la perpétuation du système raciste.

Avec le carnisme c'est pareil. Un⋅e carniste perpétue le système qui considère qu'il n'y a pas de problème éthique à exploiter les animaux. Si vous trouvez ça vexant, remettez un peu d'ordre dans votre dissonance cognitive et arrêtez de vous leurrer.

Il n'y a même pas besoin d'être végétarien⋅ne pour ça puisqu'il y a de très bonnes raisons en rapport avec les classes sociales pour rester omni. « J'aime la viande » et « Ça donne des carences » n'en sont pas.

EDIT : Je pense à une autre objection qu'ont tendance à faire les carnistes : Le terme serait un néologisme inventé à des fins extrémistes.

Outre le fait qu'aucun des mots utilisés dans notre langage n'a pas été un « néologisme inventé » un jour et l'accusation d'extrémisme qui vise à discréditer son usage sans argumenter, je voudrais rajouter le fait que le dominant n'aime pas être désigné, il préfère se fondre dans la masse de la « norme »

Le mot cisgenre (par opposition à transgenre) fait face exactement aux mêmes critiques.

Pour le racisme on parle de personnes de couleurs ou de racisé car par défaut l'être humain serait blanc (c'est le cas dans l'inconscient collectif). Pour le sexisme, le langage (en france du moins) s'efforce de masquer le genre féminin en voulant nous faire croire que le genre masculin est objectivement neutre. Etc.

Pourquoi vous croyez qu'il y a tant de réactions quand on parle de l'homme blanc cisgenre hétérosexuel ?
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Oui, ça doit être ça, je vois pas d'autre explication à leur résistance.

(Parce qu'on est d'accord que « J'aime les animaux mais je préfère les tuer parce que j'aime la viande encore plus » c'est complètement con ? ^_^)
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Aujourd'hui les pièges à vent. Demain les modules étranges.
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Un monde meilleur.
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« Prenons un exemple type ; le cas de l'enfant malade que l'un ou l'autre doit garder. Chacun s'attend à ce que ca soit la femme qui le fasse ; non pas parce que c'est une femme - nous avons dépassé ce stade-là - mais parce que cela ne peut être un homme. »
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N'en déplaise aux partisanes de l'anti-politiquement correct, je trouve que "les étudiantes" désigne de manière correcte un groupe de jeunes gens des deux sexes. Qu'un homme n'a pas besoin qu'on ampute un mot de son "e" final pour être docteure, professeure, écrivaine ou ingénieure et qu'il n'y à rien de dégradant à dire "Monsieur la maire" ou "Monsieur… , la ministre de…"

Faisons plutôt ça alors et utilisons le français féminin en lieu et place du français masculin. Après tout, ces messieurs se sentiront incluses de la même manière puisqu'après tout, il n'y a pas de problème.
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Vous avez aimé la vidéo d'Usul à propos de Chouard ? J'espère que vous aimerez aussi le mea culpa d'Usul à propos de cette vidéo.

Bravo à lui.
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« Lorsqu'on naît en France en 2013, on est, dans l'immense majorité des cas assigné garçon ou fille et l'on va ensuite vous socialiser en fonction de cette assignation de genre. De cette socialisation, découle ce qu'on appelle le privilège masculin, qui, vous allez le constater, dépasse bien évidemment celui qui en bénéficie. »
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« La nature sert toujours à donner un caractère immanent à une situation d'oppression et à la rendre somme toute logique, permanente et immuable. Après tout si la nature a rendu les femmes plus faibles physiquement (ou avec 2 chromosomes X ou avec du sang  qui coule sans être blessée ou/ou/ou/ou), peut-être est-il est normal que les hommes les dominent ?
Parler de naturalité, permet d'évacuer qu'on parle ici de rapports sociaux, donc construits, qui n'ont strictement rien d'inné et doivent donc être démontés et déconstruits. »
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« Le corps est construit dans un processus biopsychoculturel ; cela ne veut pas dire qu'il n'est pas réel mais qu'il n'existe pas d'état de nature qui puisse être saisi en dehors du social. […] Les corps mâles et femelles sont catégorisés en fonction de leur rôle dans la reproduction. On catégorise un nouveau-né sur la base du lien présumé entre les organes génitaux apparents à la naissance et la fonction que l'individu remplira à l'âge adulte, dans la reproduction. Or ce rôle relève de la prophétie. Le sexe est assigné à partir de la perception des corps et non à partir d'un savoir assuré sur leurs futures capacités reproductives. Pourtant à l'âge adulte, on ne crée pas de catégories pour classer les infertiles.
Concernant les intersexes, on ne se préoccupe pas de savoir si elles pourront avoir des enfants, ou si elles pourront se servir de leurs organes génitaux à des fins sexuelles, mais on cherche à créer une parodie de corps genré, un corps comme si. »
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« Dans un monde où sont valorisées la compétition, la force, la rigueur, la réussite, comment voulez-vous que les personnes élevées au féminin, et donc élevées à la douceur, à la gentillesse, à la compassion, aillent massivement très loin ? Il y en aura toujours quelques-unes, mais la grande majorité des femmes continuera à se perdre dans des aspirations qui ne tournent qu’autour de leur vie sentimentale et familiale, pendant qu’une majorité d’hommes continuera à être nourrie par des désirs de réussite. Elles continueront à se sentir méprisables parce que célibataires et/ou sans enfant, et à l’inverse, à se sentir valorisées par les titres ronflants de "bonne mère" et "bonne épouse" pour le temps gratuitement consacré à leur foyer, l’idée étant qu’elles se donnent "naturellement" et par "amour". »
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Le ratio entre violeurs, violeurs signalés, jugés, condamné. Et les fausses accusations.

Sources : http://theenlivenproject.com/the-story-behind-the-infographic/
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Non ça c'est typique des "égalitaristes"

Ils se revendiquent rien du tout jusqu'à tomber sur un⋅e féministe, là pour la contredire, ils deviennent égalitaristes, humaniste ou que sais-je. Ensuite ils disent que l'égalité c'est bien mais qu'il faut pas être extrémiste (Demander trop d'égalité, vous vous rendez compte ?) et qu'il faut pas chambouler la nature.

J'ai partagé ça dimanche à ce propos, ça parle du recoupement des oppressions et de l'usage des termes féministes humaniste ou égalitariste: http://tools.aldarone.fr/share/?Vt0Qmw
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Petit aparté : Ovidie ça l'emmerde grave que partout où elle est mentionnée on la renvoie uniquement à son passé d'actrice porno. Elle n'est pas que ça.

« Je suis auteure, réalisatrice, et éducatrice sexuelle pour adultes depuis une douzaine d'années. »
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« I am definitely a feminist. I’m f**king disgusted by the way women are still treated. It’s 1993 and some people still think we’re in the 1950’s. » - Kurt Kobain.

En 2014 ? Rien n'a changé.
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« Si on est pas un féministe à 1000% qui jamais ne défendait un point de vu un peu écarté des leurs (même si la raison le ferait) on est un "sombre crétin". »

Non, ta gueule viens pas essayer de faire croire que tu n'as ne serait-ce qu'une once de pensée féministe ou que tu as un point de vue "un peu écarté"

Il n'y a rien de féministe dans l'idéologie que tu diffuses. De la merde essentialiste, de la merde masculiniste oui. Du féminisme ou "un peu écarté" non. Jamais. Tu ES le putain de problème dans la lutte contre le patriarcat.

Ah et j'ai trouvé quelque part une citation de Linus Torvalds appropriée concernant le ton que j'emploie : « Je suis assis dans mon bureau en peignoir. De la même façon que je ne vais pas me mettre à porter des cravates, je ne vais pas me mettre à la fausse politesse, aux mensonges, aux politiques de bureau, à l’agressivité passive et aux coups bas. » - http://www.donotlink.com/puk

Et ceci va peut-être te rappeler quelque chose également :

« Je n’en ai rien à faire de dire des gros mots, des insultes, des jeux de mots et d’autres trucs peu sérieux. Tant pis si ça dérange et j’emmerde ceux qui me le reproche : est-ce que je reproche aux autres de parler comme des politiciens ? Non ! Parce que ça ne me gêne pas : ce n’est pas la forme qui compte, mais le fond, et on peut très bien se parler et se comprendre avec styles différents et c’est bien ce qui compte.

Je n’ai pas envie de me mettre une bible dans le cul pour parler comme les standards de la société le veut. À quoi ça sert de parler et de s’exprimer si on censure ce qu’on pense, sous prétexte que certains mots sont « interdits » et « mal vus » par les adeptes du politiquement correcte ? À rien. La liberté d’expression, c’est mieux quand on a aussi la liberté de penser.

Ce n’est pas en s’interdisant religieusement d’employer des insultes que vous serez quelqu’un d’apte socialement. C’est le fait de savoir comment les employer qui fera de vous quelqu’un qui sait communiquer. Quelqu’un que l’on ne risque pas de comprendre de travers.

Alors cessez cette hypocrisie ridicule. Exprimez-vous. N’ayez pas peur des mots. N’ayez pas peur de dire ce que vous pensez et tout ce que vous pensez. Osez appeler un con un con. Il n’y a pas de gros mots, il n’y a pas de mots mieux que d’autres. »

Deux poids, deux mesures ? Toi ? Noooooon. Alors applique au moins tes propres préceptes au lieu de te cacher derrière ta dissidence quand ça t'arrange bien.
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Votre partage de la BD de l'autre immonde ne laisse aucun doute. Vous êtes complètement aveuglé par votre biais de confirmation que c'en est effrayant. Comme si votre cervelle se mettait sur OFF dès que l'occasion de taper sur des militants progressistes se présente.

Cette BD est le truc le plus vicieux, manipulateur et mensonger de l'année.

ça instrumentalise aussi bien MLK et le transformer en révolutionnaire violent en lui faisant dire "babtou" c'est pas innocent. ça renvoie évidemment une injonction à se policer. Il n'y a que les militants consensuels qui seraient entendables et entendus. Le sous entendu raciste qui point encore, c'est qu'utiliser "babtou" serait du racisme anti-blanc. D'ailleurs il savait très bien se montrer radical contrairement à ce qui est suggéré : http://lmsi.net/Pourquoi-nous-ne-pouvons-pas

Quand ça parle de garde d'enfant, ça oublie bien tranquillement de préciser les chiffres du nombres de pères qui ne demandent pas la garde mais aussi du nombre de pères qui tombent d'accord pour que la garde aille à la mère ou encore du nombre de père qui ne l'obtiennent pas car ils sont violents. (là dessus j'ai des chiffres édifiants : http://forum-famille.dalloz.fr/2013/11/25/la-residence-des-enfants-chez-les-peres-les-chiffres-du-ministere-de-la-justice/ L'autre essaye de nous faire croire que les méchantes mères privent leurs enfants de leur papa comme le ferait un ahuri sur une grue, la vérité c'est que dans 80% des cas il y a accord des parents. Quand il y a accord des parents, les enfants sont placés à 71% chez la mère, à 10% chez le père. Dans 10% des cas, un des deux parents ne se prononce pas (c'est le père dans 80% de ces cas)

ça ne manque pas non plus de se représenter soit même dans le rôle du mec "qui ne fait rien de mal" bouffé par ses congénères tellement bouffé par ses congénères que ça fait des dédicaces chez des gens qui ont des milliers de vues sur youtube et qui brassent des dizaines de milliers d'euros avec leur business (Je parle de Soral, Dieudonné et compagnie, des gens très recommandable quand on a un tant soit peu d'éthique...)

Quand ça parodie le projet crocodile ça l'accuse de représenter tous les hommes en agresseurs, en mettant de côté le fait que le projet crocodile ne fait que représenter les hommes en crocodiles. Qu'ils soient agresseurs, témoins ou aides. (Et encore, parfois on voit des témoins hommes être des hommes.)

Quand ça compare le nombre d'hommes et de femmes victimes d'agressions, ça met de côté le genre des agresseurs. C'est pas une question intéressante ça ? Quel est la part d'homme parmi les personnes qui perpétuent des crimes ? ça me semble plus intéressant que de dire "ouin 71% des victimes sont des hommes" Ces hommes se font agresser par qui ? Des femmes ?

Quand ça parle de s'être fait traiter de glandu sur internet ça met sur le même plan la réaction à une agression et ls manifestations d'oppressions systémiques. Facile d'individualiser ls agressions, ça permet de cacher le système qui les provoquent.

Quand ça s'attache à dire que la majorité des SDF sont des hommes pour nous tirer la larmichette ça ne montre pas de chiffres. En voila des chiffres : 70% des personnes qui vivent avec moins de 1$ par jour sont... des femmes. http://www.examiner.com/article/gender-injustice-women-represent-70-percent-of-worlds-poor

Mais ce n'est pas tout, Vader a son avis avec lequel je n'adhère pas en totalité mais qui démonte lui aussi un petit paquet de choses : http://liens.vader.fr/?0uCOxw

Quant à l'article suivant http://www.natas.fr/2014/07/21/alexis-koleszar/ il s'attache à nommer les sophismes qui composent l'argumentaire de cet étron.

Je que vos yeux soient encore capable de s'ouvrir mais j'espère au moins que ça fera un peu réfléchir d'autres gens avant qu'ils partagent des thèses racistes et masculinistes comme il y en a là dessus.
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Introduction au féminisme et à la manière dont les privilèges fonctionnent.

La version linkée ici a des sous-titres français que vous pouvez activer.
La version originale sans sous-titres est ici : https://www.youtube.com/watch?v=mGfEcNO6K48
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