Site original : France Info Manga
Tokyo 2019. Un peu moins d’un an avant l’ouverture des Jeux olympiques le Japon veut donner de lui une image parfaite. Une vague de puritanisme exacerbé s’abat sur tout le pays, cristallisée par la multiplication de mouvements autoproclamés de vigilance citoyenne. Aucun mode d’expression n’est épargné et Mikio Hibino, un mangaka de 32 ans, va devoir composer avec la censure pour publier un manga d’horreur ultra-réaliste, Dark Walker.
Dans Poison city, Tetsuya Tsutsui (Prophecy, Manhole, Duds Hunt) s’intéresse à la liberté d’expression et à la censure dont il a lui-même été victime. Son manga Manholeest actuellement censuré dans le département de Nagasaki.
Dans Poison City, Tetsuya Tsutsui nous dévoile les coulisses et l’absurdité du système de censure japonais, ainsi que les nombreuses pressions extérieures qu’un auteur subit tout au long du processus de création.
L'interview de Tetsuya Tsutsui par Laetitia de Germon. Traduction de Sébastien Baer et Mai Ono
Nakajima Haruo, l’homme-Godzilla
Personnages SD de Death Parade, dessinés par Boya Liang, responsable de l'animation sur l'épisode 12 via @dp_anime
Un crossover Dr Slump, avec Bruce Willis
Fanart de Akira Toriyama, avec Dr Slump x Street Fighter