Site original : Sam & Max: Python, Django, Git et du cul
C’est que je vais finir par manquer de synonymes pour les titres ^^
Bref, c’était un petit article qui donnait une recette de parcours d’un itérable par morceaux.
Au programme :
Ce n’est pas dans le top 10 des trucs à lire à tout prix, mais c’est instructif si vous avez 10 minutes à tuer.
Puis une petit vidéo – c’est devenu traditionnel – qui illustre c’est qu’est un fish net (la tenue de la miss) :
C’est l’exemple typique du truc sexy en théorie et super pourri en pratique : ça racle, ça gratte, ça irrite, et on peut pas caresser ou trouver une prise pour les mains. Super frustrant.
Autant quelques articles précédents n’ont pas demandé de gros efforts de concentration, autant celui-ci a été une refonte totale.
En fait, un lecteur m’avait signalé en commentaire que je disais connerie sur connerie.
Vous pouvez croire que je suis têtu, mais mine de rien j’écoute ce qu’on me dit, et j’ai donc réécrit l’intégralité du billet.
Ce n’est pas une notion super importante en Python, mais si la curiosité vous pique, allez lire l’article.
Passons maintenant du coq à l’âne, ou devrais-je dire aux cocks à taille d’ânes avec une petite chubby et son partenaire portant un cock-ring :
Le cock ring, c’est le machin bleu en fin de vidéo, c’est un anneau, qui peut exister en modèle vibrant ou non, qui permet de varier les plaisirs. Je déteste ça, je trouve que ça fait mal à la teub, mais tous les gouts sont dans la nature.
Lui aussi est en deux parties. La première était facile : uniquement les prints à changer. Les features de prog fonctionnelle n’ont pas beaucoup évolué entre Python 2 et 3 il faut dire.
Pour la partie 2, j’ai changé quelques phrases, mais surtout un exemple qui avait pété, non pas à cause de Python 3, mais parce qu’il tapait sur une page dont le contenu avait changé.
Bref, si vous avez envie de savoir comment écrire vos propres décorateurs, vous savez quoi faire.
Quand on installe un service, Ubuntu le lance automatiquement, et installe de quoi le faire démarer à chaque boot de la machine.
Si c’est votre machine de dev, vous ne voulez peut être pas qu’Apache, Nginx, Redis, MySQL, ElasticSearch, Solr, Supervisor, Postgres, Docker, et MongoDB soient à chaque fois tous en même temps alors que vous voulez juste vous palucher sur youjizz.
La plupart des des scripts de démarrage sont dans /etc/inid.d:
ls /etc/init.d acpid brltty grub-common lpd pppd-dns resolvconf skeleton unattended-upgrades anacron console-setup halt... |
Mais ces scripts sont lancés parce qu’ils sont symlinkés dans un des répertoires /etc/rcX
:
ls /etc/rc*.d/*apache* /etc/rc0.d/K80apache2 /etc/rc5.d/K80apache2 /etc/rc6.d/K80apache2 |
Ouai, j’ai encore des clients qui utilisent apache. Certains utilisent même Tomcat.
Pour désactiver le démarrage automatique, vous pouvez essayer bourinement la suppression des liens :
sudo rm $(ls /etc/rc*.d/*apache*) |
Ca marche.
Solution plus pratique, utiliser la commande update-rc.d
, qui n’est pas faite pour l’utilisation par les humains, mais fuck it :
sudo update-rc.d -f apache2 remove |
Ce supprime aussi tous les liens. sudo update-rc.d -f apache2 disable
devrait le faire moins bourrinement mais ne marche pas sur ma machine.
Pour inverser la tendance :
sudo update-rc.d apache2 defaults |
(ou enable si par miracle ça marche pour vous)
Enfin, si le coeur vous en dit:
sudo update-rc.d -f apache2 remove sudo sysv-rc-conf |
Vous donnera une joli interface curse pour le faire plus visuellement.
Bon celui là c’était un facile : y avait juste à changer les prints. Histoire de pas faire ma loque, j’ai rajouté un petit paragraphe sur les combinaisons de prefixes.
Donc si vous croyez toujours que r'truc'
c’est que pour les regexs, lisez l’article.
Ah, oui, j’oubliais :
Si vous êtes curieux de savoir ce qui se passe quand on met sa main au lieu de sa bite dans un glory hole.