Site original : Sam & Max: Python, Django, Git et du cul
Le rectum n’étant pas lubrifié et prévu initialement pour la sortie, et non l’entrée, la sodomie demande un peu plus de travail que la pénétration vaginale.
En fait, même quand vous voyez une actrice faire ça en deux, deux :
Derrière, elle s’est préparée hors caméra.
Déjà, il y a peu de nanas qui ont envie, ou même acceptent, de se faire prendre sans préliminaire, trou-du-cul ou pas. Ça arrive, mais c’est circonstanciel. J’exclus évidement les pros qui sont là pour vous satisfaire, et donc qui seront prêtes à votre arrivée.
En plus pour le fion, si vous avez déjà mis un thermomètre ou un supo, vous savez que c’est une zone sensible. Imaginez donc faire rentrer une carotte, une banane, voir pour les plus africains d’entre nous, un concombre.
Si vous y allez directe, ça risque de tout simplement pas rentrer. Ou alors de casser. Un anus qui saigne, à l’exception de jeux SM, c’est la fin des galipettes.
Supposons donc que votre partenaire fasse parti de cette minorité qui accepte de se prendre une bite dans le derrière, ou, plus rare encore, qui aime ça.
Sinon vous avez l’autre technique, qui consiste à prendre la meuf par les cheveux et l’enculer d’un coup contre un mur. Ça passe avec les pros, les soumises, les filles qui adorent la sodomie et qui sont déjà très excitées, ou celles que vous ne voulez jamais revoir.
Il est très excitant pour le mec de pratiquer la sodo par derrière, mais si votre meuf n’est pas habituée, c’est plus dur, du fait de la forme du colon. La position dans laquelle ça rentre le mieux, c’est la position du missionnaire. C’est contre-intuitif, mais le pénis est généralement bandé en arc, et cet arc ira ainsi dans le sens du tuyau dans lequel vous voulez le faire rentrer. Pensez-y pour les premières fois.
Je ne recommande pas l’andromaque, ça prendra 3 heures avec une débutante effarouchée, à moins que vous soyez très, très patient.
À l’inverse, si vous êtes très à l’aise, la levrette permet plus facilement de mettre un gode dans la chatte en même temps (ou la fameuse banane chaude de La cité de Dieu ^^), et c’est là qu’on s’amuse vraiment. Je n’ai jamais essayé la double pénétration avec deux personnes, donc je ne peux pas vous aiguiller sur ce point, je laisse pour ça la parole à Max. Gageons qu’il a une approche plus directe que la mienne. Je suppose simplement que du coup, préparer avec une bite derrière et un gode devant est envisageable.
Si vous croyez que la sodo, c’est propre comme dans les films, vous n’avez pas vraiment compris l’usage métabolique primaire de cette partie de l’anatomie. C’est un trou à merde.
Donc, attendez-vous à voir de la merde. Logique.
Quand c’est planifié, et avec des habitué(e)s (car pour le coup, l’article marche pour les gays), la personne qui reçoit… C’est comme ça qu’on appelle l’enculé(e) dans les milieux autorisés : la personne qui reçoit. La personne qui reçoit, donc, se prépare parfois avant, par exemple en faisant un lavement.
Mais vous ne serez probablement pas dans ce cas là.
Donc, merde.
Des traces sur votre penis, mais aussi parfois tout un morceau qui peut sortir une fois que vous l’avez retiré.
Des pets également.
Ca dépend pas mal de ce que la digestion d’autruit pour le coup, et du moment de la pénétration.
Et aussi parfois le fameux santorum . Je n’en ai jamais vu, mais il parait que ça existe.
Bref, ça ne ressemblera pas à ça :
Le colon est un organe très peu inervé. Comprenez par là que les sensations ressenties à ce niveau sont très faibles. Donc, si la personne vous dit d’arrêter, vous arrêtez. Parce que si elle ressent une sensation désagréable au niveau du colon, c’est que c’est que quelque chose d’important se passe. Oui, on peut percer le tuyau. C’est pas courant, mais c’est possible. Dans tous les cas on peut gravement l’irriter. Donc pour que le cul reste un jeu, soyez fair play, ne faites pas l’enculé avec votre enculé(e).
Servir le Javascript, les images et le CSS avec Django a toujours été une grande question pour les débutants.
J’avais fais un giga article pour expliquer comment servir les fichiers statiques avec ce framework, mais j’ai réalisé ensuite que les gens n’avaient pas forcément accès aux fichiers de configuration du serveur.
Parfois, tout ce qu’ils ont c’est un pauvre fichier .htaccess. Tout n’est pas perdu, avec une petite règle de rewrite :
AddHandler fcgid-script .fcgi RewriteEngine On RewriteRule /static/ /chemin/vers/dossier/racine/apache/static RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} !-f RewriteRule ^(.*)$ site.fcgi/$1 [QSA,L]
Attention à ce que /static/ corresponde bien à l’arborescence complète de sous dossiers de /chemin/vers/dossier/racine/apache/ et à settings.STATIC_ROOT
.
Par exemple :
AddHandler fcgid-script .fcgi RewriteEngine On RewriteRule /sous/dossier/static/ /chemin/vers/dossier/racine/apache/sous/dossier/static RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} !-f RewriteRule ^(.*)$ site.fcgi/$1 [QSA,L]
Et settings.STATIC_ROOT = "/sous/dossier/static/"
.
En effet, on fait un rewrite ici, on ne sert pas le sous dossier directement.
P.S: ça va sans le dire, mais ça va mieux en le disant, c’est de la prod, donc faut faire un manage.py collecstatic
avant, et s’assurer d’avoir les bonnes valeurs pour settings.STATIC_ROOT
et settings.STATIC_URL
/
Python, le langage sans fond. Arriverai-je à n’avoir plus jamais d’article à écrire un jour ?
Tenez, hier, j’étais en train de lire un blog sur le Web, le bourrelet paresseusement calé entre mon dossier et la table, quand soudain, boum !
Je tombe sur ça :
>>> slice <type 'slice'>
Aucun import. Rien.
Attend, il y a un type built-in slice
en Python ? What the actual fucking fuck ?
Alors je testouille un truc, y croyant vaguement :
>>> lst = ['a', 'b', 'c', 'd'] >>> lst[1:3] [u'b', u'c'] >>> lst[slice(1,3)] [u'b', u'c']
Donc plutôt que de se trimbaler avec des tuples de valeurs dont il faudra tester ou imposer la taille. Plutôt que d’attendre en paramètre uniquement des entiers positionnels ou forcer le passage de None, on peut aussi tout simplement passer un slice à vos fonctions qui font du slicing.
Ça veut dire des objets slices en valeurs par défaut.
Ça veut dire des objets slices dans les mapping, les iterables, etc.
Un seul regret :
>>> from itertools import islice >>> islice(lst, slice) Traceback (most recent call last): File "<ipython-input-5-7eb2c7533070>", line 1, in <module> islice(lst, slice(1,3)) ValueError: Stop argument for islice() must be None or an integer: 0 <= x <= maxint.
Et ça c’est vraiment con.
Ceci est un post invité de cactus posté sous licence creative common 3.0 unported.
Comme tout bon codeur, je travaille la nuit ou alors la journée mais seulement avec les volets fermés.
Et si y’a bien un défaut avec ce blog, c’est qu’il arrache la rétine à la pince anglaise !
Du coup, de mes petits doigts agiles et gracieux je me suis bricolé un petit CSS maison pour ne plus pleurer chaque fois que j’ai besoin de relire un des articles, en rendant le site ténébreux plus qu’un gothique un soir sans lune !
Comme vous pouvez le constater, la différence est flagrante :
Pour l’appliquer, j’utilise l’extension Stylish de mon navigateur (l’addon est disponible pour tous les navigateurs populaires).
Voici donc le style :
@namespace url(http://www.w3.org/1999/xhtml); @-moz-document domain("sametmax.com") { body { background: none !important; background-color: black !important; color: white !important; } code, pre, blockquote { background-color : #101010 !important; color : white !important; } #slogan { color: white !important; } a { color: grey !important; } #header ul li { color: white !important; background-color: #101010 !important; } ul.nav li:hover a { background-color: #202020 !important; } #header ul { background-color: black !important; } * { text-shadow: none !important; } }
Pour pousser un peu plus loin il y a le problème de la coloration syntaxique. En effet, le style est codé directement dans les balises html, qui ne sont pas modifiées par le CSS, et la coloration syntaxique foire parfois. Du coup pour ceux qui veulent se montrer tatillons, il faut utiliser un petit script (à intégrer par exemple à GreaseMonkey) pour modifier la coloration syntaxique.
Voilà le script :
// ==UserScript== // @name Sam&Max - Litlle Color Fix // @namespace sametmax.com // @description Fix a color bug for code coloring on sametmax.com with Stylish "Darker" theme // @include http://sametmax.com/* // @version 1 var spans = document.getElementsByTagName("span"); console.info(spans.length + " spans trouvés by GreaseMonkey/Sam&Max - Little Color Fix"); var white = 0; for (var i=0; i < spans.length; i++) { if (spans[i].style.color == "black" || spans[i].style.color == "#000000" || spans[i].style.color == "rgb(0, 0, 0)") { spans[i].style.color = "white"; white++; } if (spans[i].style.color == "#000000") { spans[i].style.color = "blue"; } } console.info(white + " spans colorisés by GreaseMonkey/Sam&Max - Little Color Fix"); // ==/UserScript==
Enfin, pour ceux qui se plaignent qu’il y ait du cul dans les articles de SM, un petit Stylish pour enlever les images :
@namespace url(http://www.w3.org/1999/xhtml); @-moz-document domain("sametmax.com") { .wp-caption, .wp-post-image {visibility: hidden !important;} }