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Thief

jeudi 5 juin 2014 à 13:36

Bonjour bande de moules au gruyère ! Après le 7e art abordons le 10e ! Plus précisément le jeu vidéo. Et aujourd’hui Thief ! Avant de hurler de plaisir ou d’horreur parlons rapidement de l’histoire de ce jeu.

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On incarne Garrett, sympathique voleur en capuche, équipé de ses crochets pour … ben pour crocheter, sa dague, sa matraque (ou gourdin pour faire des jeux mots) et évidemment, son indispensable arc et sa tripoté de flèches spéciales et plus ou moins utiles ! Comme par exemple la flèche à eau pour éteindre les torches (ou effacer les tâches de sang). Des flèches à gaz pour gazer les gens, des flèches de feux pour tout cramer (déconseillé pour la discrétion) et bien sûr des flèches toutes bêtes pour tuer des gens, actionner des mécanismes, etc. On peut noter aussi tout un tas de gadgets (grenades, mines, des potions, un hamster nucléaire et un sabre laser hello kitty).

Le premier épisode de cette série est né en 1998, l’époque où la France savait jouer au foot et où vous étiez jeunes … ou déjà vieux, ça dépend de votre âge. Nommé Thief: The Dark Project (Dark Project : La Guilde des voleurs en français), il s’agit d’un jeu d’infiltration à la première personne dans un univers médiéval-fantastique et développé par Looking Glass Studios.

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Le second volet est sortié en 2000, année du bug et de l’utilisation abusive de l’expression « nouveau millénaire ». Thief 2: The Metal Age (Dark Project 2 : L’Âge de métal en français) par le même studio de dev’.

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Bon n’ayant pas joué à ces deux derniers je n’ai pas grand chose à dire dessus. Par contre j’ai beaucoup joué à Thief: Deadly Shadows (Dark Project: Deadly Shadows en français) sorti en 2004. On retrouve notre voleur Garrett, cette fois-ci à la 3e personne, dans une ville sombre, peuplé de gueux, de gens riches à dépouiller et de gardes intelligents à la vision acérée. Euh non … de gardes un peu débiles. Là on est déjà plus proche de la réalité.

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Deadly Shadows s’est fait démonter par les puriste de la série (normal, c’est le 3e chapitre de la série et quand on est un puriste on est obligé d’être con..tre. Oups) pour le manque de liberté par rapport au précédent, la 3e personne (d’ailleurs on pouvait switché en 1er personne, donc c’est un argument de merde. (Mais peut être que cet argument n’existe pas (parenthèse(ception)))) et surtout la disparition de certains objets au profit d’autres. Par exemple on a la possibilité d’acheter des gants d’escalade permettant de se prendre pour Spiderman. Mais en réalité ça sert juste à atteindre quelques rares plateformes inaccessible autrement sinon c’est juste pour se marrer. Mais n’essayez pas de sauter de toit en toit au risque de s’aplatir comme une crêpes en contre bas.

J’ai passé beaucoup de temps sur ce jeu qui malgré ses défauts, est un bon jeu d’infiltration, possède une super ambiance et qui permet de dépouiller des bourgeoises pendant leur sommeil. Une bonne partie de Thief:Deadly Shadow c’est un peu comme mes tartines beurrées à l’opium, c’est bon et tu passes une bonne soirée.

C’est tout naturellement que j’attendais avec impatience (non c’est pas vrai j’avais oublié entre temps) le nouvel opus, sobrement nommé Thief, sorti en 2014. Alors quelles surprises nous réserve ce jeu après 10 ans d’attente ?

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Autant que les choses soit claire, une grosse déception et un jeu pas tip top. L’histoire pour commencer. Bouarf … Rien de bien folichon, ça m’a pas vraiment marqué, pas inintéressante mais souvent utilisé pour justifier le passage d’un lieu à un autre.

Pour ce qui est des graphismes, petite anecdote sympathique, j’ai dû mettre la qualité au minimum pour jouer correctement. Et pourtant j’ai une machine (oui je joue sur PC, tout jeu à la première personne se joue avec un clavier et une souris, le reste n’est qu’hérésie) tout à fait correcte. La plupart des jeux tournent en bonne qualité mais pas celui ci. Peut être que le moteur graphique est tellement badass qu’il faut une bête de course pour en profiter à fond mais je pense surtout que c’est une histoire liant optimisation et pieds (vous me suivez ?). Donc difficile de commenter la qualité graphique puisque je ne pouvais pas en profiter pleinement.

C’est là que ça pose problème … Le gameplay … On nous a promis une ville entière à explorer et plein de maisons à dévaliser et on se retrouve avec des enchainements de couloirs et des écrans de chargements. Et en parlant d’écrans de chargements, une question m’est venu pendant que je jouais : pourquoi y’en a autant fockin’ @!#!@!! $#* avec un chevreuil mort ?! Ça casse le rythme et c’est franchement pénible.

Mais étant dans un jeu d’infiltration en 2014 on s’attend naturellement à pouvoir nous déplacer partout, utiliser les toits, les tuyaux, les gouttières ou les pigeons. Malheureusement les chemins sont limités et indiqués très clairement. On se retrouve avec une faible liberté d’action (et après avoir joué à Dishonored ça fait chier !). On retrouvera également le classique des jeux actuels avec la vision spéciale  (un peu comme la vision d’aigle dans Assassin Creed) mettant en valeur  les éléments du décors utilisables (si jamais on n’arrive pas à les voir), les ennemis ou encore les objets à voler.

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Les objets à voler, parlons en ! (Quelle transition !) on reste dans le classique, les bijoux, la thune, la vaisselle précieuse, les tableaux, enfin rien de bien nouveau. Je regrette juste le manque de passants possédant des bourses pleines de pièces d’or chatoyante, que je me faisais un plaisir de subtiliser dans le jeu précédant. Autre petit détail, il y a une animation où l’on voit la main de Garrett attraper l’objet voulu. C’est plutôt classe mais quand on ajoute l’animation d’ouverture de tiroir et des meubles comportant 6 tiroirs (dont 5 vides !) c’est un peu crispant.

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Autre détail, mais un gros détail, le dash. Garrett peut effectuer une superbe mais courte course vers l’avant le faisant passer entre deux zones d’ombre sans être détecter. Pratique dans la partie mais rendant le tout tellement simple par moment. Avant on se demandait si il fallait mieux éteindre la torche, faire diversion ou trouver un autre passage, maintenant on dash. Bon …

Hum … je me rends compte que j’ai pourri ce pauvre Thief, pourtant je me suis amusé à le finir. Au final l’expérience est agréable si on se concentre pas trop sur les points évoqués précédemment. Les fans seront ravis de retrouver les flèches à cordes ou flèches grappins. Plutôt utile, on tire sur une poutre et une corde descend gentiment pour t’aider à monter. Mais comme d’ab les poutres utilisables sont limitées. On retrouve aussi nos chers gardes un peu crétins, qui sont surement un peu aveugles. Mais ils sont aidés par des chiens qui peuvent vous sentir et donner l’alerte et des … corbeaux … Oui des corbeaux qui braillent si tu passes trop vite à coté d’eux ou si tu fais trop de bruit. Et pour le coup ces corbeaux vont vous foutre dans la mouise. Y’a des cages un peu partout (souvent vide), elles sont placées sur des meubles classiques sans intérêts  et en plus les cages sont noires. Enjoy  pour les repérer ! Et puis j’ai un peu exagéré, on ne se sort pas de toutes les situations avec un ou deux dash, parfois faut réfléchir un peu (mais pas trop, sinon ça fait mal à la tête).

L’ambiance est réussie aussi, en particulier le passage dans l’asile psychiatrique qui m’a rappelé l’orphelinat dans le précédent jeu. Je sais pas si c’est le côté hôpital, les trainées de sang, les créatures aux yeux qui brillent ou ces saletés de fous dangereux qui tapent à la porte de leur cellule quand vous passez devant un peu vite ! Ah ! Vous pouvez regarder par le trou de serrure avant d’ouvrir une porte. Ici, c’est à double tranchant. La première fois j’ai ouvert les portes sans regarder et j’ai frôlé l’arrêt cardiaque quand un type en pyjama d’hôpital m’a sauté dessus. Une fois la sale bête gisante dans une marre de son propre sang, j’ai pris la décision de vérifier avant d’ouvrir les portes. Donc j’enchaine les cellules tranquillou, je ramasse des conneries, et là BAM ! Un putain d’œil qui t’observe par le même trou de serrure ! Bref, je suis surement un peu trop sensible au stress dans les jeux (Dead Space ! Tu ne m’auras pas vivant !) mais j’étais bien sous pression pendant tout le niveau.

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Ce n’est pas l’hôpital mais une sorte d’abattoir à gens. Ah non pardon ! C’est ici qu’on emmène ceux qui sont un peu trop contre le système. Ahahahah

 

Bon, il est temps de conclure. Le jeu est décevant, déjà en partie à cause de l’attente et de la qualité des jeux précédents. Mais aussi à cause de l’accumulation de plein de petits détails, mais au final je me suis quand même amusé sur ce jeu. Donc un jeu oubliable et j’espère vraiment qu’il y en a un autre en route ou au moins de prévu et qu’ils vont améliorer le tout pour accoucher d’un truc vraiment cool.

Sur ce je vais me beurrer quelques tartines et rejouer à Deadly Shadow. Tchou !

 


Article rédigé par Garett pour aryo, le 05/06/2014. | Lien Permanent | 0 Commentaire
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Les sorcières de zugarramurdi

mardi 27 mai 2014 à 13:47

Bonjour !

Aujourd’hui pas de nouvelle technologie, ni de décès d’un musicien, juste un film. Et ce film est « Les sorcières de zugarramurdi ».Les-Sorcières-de-Zugarramurdi-Affiche

 

Réalisé par Álex de la Iglesia, sorti en janvier 2014, il s’agit d’un long métrage espagnol (vu le nom du réalisateur, c’est plutôt logique). Parlons de l’histoire un peu (je sais que c’est un détail dans un film mais quand même ça mérite quelques lignes).

Le film commence par le braquage de l’une de ces boutiques qui rachètent vos bijoux, dents en or, alliances et pièces du trésor de guerre nazi (Point Godwin en quelques lignes ! Boumachaka !). Bref une enseigne comme tant d’autre qui rachète votre or et vous en…tube. Et pour cette opération les braqueurs sont déguisés en hommes statues ou personnages fictifs divers. On retrouvera par exemple un soldat en plastique, un bob l’éponge ou encore un jésus en slip (et les slips c’est so sex). D’ailleurs petit spoil qui n’a aucune conséquence, Bob l’éponge meurt !! Ahahahahahahaha ! Donc rien que pour ça j’ai adoré :p.

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Bref, 2 braqueurs (et le fils de l’un d’eux. Ben oui c’était son tour de garder le gosse et il pouvait le laisser tout seul, vous comprenez ….), s’échappent en prenant un taxi en otage. Étant en Espagne, ils veulent passer la frontière et entrer en France pour disparaitre avec la thune. Sauf que ! (Suspens …) Pour cela ils doivent passer par le village de Zugarramurdi !

Pour la petite histoire : Zugarramurdi (nom en basque et en espagnol) est une ville et une municipalité de la Communauté forale de Navarre située à 83 kilomètres de la capitale de la communauté, Pampelune (Pamplona) en Navarre, au nord de l’Espagne. La langue basque est coofficielle avec l’espagnol. Ses 235 habitants (en 2004) sont appelés les « Zugarramurdiarra » ou les « Zugarramurditarra ». Merci wikipédia !!
Sinon le village est aussi réputé pour avoir abrité des sorcières et elles célébraient des rituels bizarres et sûrement glauque à base de sacrifice de poneys et bébés. Et quelques gens furent cramer, parce que c’est bien connu, si jamais t’as un doute, tu crame tout. Pour quelques détails : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zugarramurdi#Histoire

Revenons à nos moutons (Béééééé). Plus les personnages vont se rapprocher du village plus ils vont être confrontés à des événements (et des gens) étranges. C’est là que le film monte en puissance jusqu’à l’explosion finale. #####SPOIL##### A la fin du film, y’a un générique !  #####SPOIL#####

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Pour le film dans sa globalité, je dois dire que j’ai beaucoup aimé ce changement de ton, passant d’une comédie plutôt classique (mais efficace) à une comédie trash et gore, entre le glauque et le burlesque voir l’absurdre. Bref, de quoi passer un bon moment avec des coupaings, ou tout seul si vous avez pas d’ami. Je vous le recommande chaudement et je vous conseil également de vous intéresser à la filmographie d’Álex de la Iglesia, d’après les échos que j’en ai eu, y’a de la bonne ! (Je vous donnerai peut être mon avis).

 

LES+SORCIERES+DE+ZUGARRAMURDI+PHOTO2Quant à moi je repars courir tout nu dans la forêt en quête d’une jolie sorcière pour rendre hommage à Satan.

Tchou !

 


Article rédigé par Garett pour aryo, le 27/05/2014. | Lien Permanent | 3 Commentaires
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The Hobbit 2 – Trailer

mercredi 12 juin 2013 à 19:38

Le trailer de The Hobbit 2 dont la sortie est prévue le 11 décembre 2013 (oui, le 11/12/13 !) est disponible. D’après ce qu’on peut y voir, il va falloir aimer les images les synthèse !

Désolé, je n’ai vraiment pas le temps de poster quoi que ce soit de constructif en ce moment. Pourtant j’ai un article dans les cartons depuis plus d’un mois… :O

Après la fin du mois de juin, ça devrait aller mieux. On se retrouve là bas !


Article rédigé par Arthur pour aryo, le 12/06/2013. | Lien Permanent | 0 Commentaire
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Le NoSQL

mardi 14 mai 2013 à 16:02

 

Bien le bonsoir ! En cette belle journée où il pleut je vais vous parler du NoSQL (Not Only SQL). Alors, d’abord le NoSQL est une catégorie de systèmes de gestion de base de données. (Vous êtes encore là ?)

Une base de données, c’est comme une grande bibliothèque qui contient des tables (les différentes étagères de la bibliothèque) et des éléments dans ces tables (les livres sur les étagères). Ce que je viens de vous décrire est une base données relationnelles, c’est-à-dire que y’a des relations entre les étagères. (Par exemple grâce à une relation on peut lister tous les gens qui ont emprunté un livre de Stephen King).

Et ben le NoSQL ne fonctionne absolument pas comme ça ! Et c’est tout l’intérêt. Le NoSQL utilise d’autre moyen pour gérer et organiser les bases. Le gros avantage des bases NoSQL est la rapidité de réponse pour de très gros volume. Par exemple Facebook et Twitter utilise une base NoSQL. Mais à l’origine c’est Google et Amazon qui ont lancé les prototypes du NoSQL.

Soyons clair, le NoSQL ne va pas tuer les bases relationnelles classiques. Il permet d’offrir des alternatives et de mieux répondre à certains besoins.

C’est bon je n’ai perdu personne ? Vous êtes trop fort !

Je ne vais pas parler du fait que le NoSQL renonce au capacités ACID des bases relationnelles pour suivre le théorème CAP. Simplement parce que on s’en fout un peu. Pour ceux que ça intéresse, regardez les liens et fendez vous la gueule !

Par contre je vais vous parler des grandes familles du NoSQL :

Attardons nous sur cette dernière :

Pour ce qui on pas fait beaucoup de mathématix, un graphe ça ressemble à ça : Network_flow

 

En gros, y’a des nœuds et des arcs. Tous les nœuds ne sont pas forcement reliés. Certains peuvent ne pas avoir d’arcs.

Donc avec une base de données orientée graphe, il n’y a plus d’étagères, juste des livres, représentés par les nœuds. Et les relations deviennent des arcs. Et comme on parle de graphe on peut utiliser des algorithmes de la Théorie des graphes, comme l’algorithme de Dijkstra. Et grâce à tous ces algos mathématiques on gagne beaucoup en performance. Pour reprendre notre métaphore filée (oui c’est la classe). La base en NoSQL ira plus vite pour lister tous les gens qui ont emprunté un livre de Stephen King, qu’une base traditionnelle.

Par contre, pour des recherches plus simples, qui utilisent moins les relations, une base de données relationnelle sera plus adaptée.

L’acteur principal est Neo4J.

En conclusion je dirais que c’est une techno intéressante. Encore un peu jeune et en cours de maturation mais, elle est puissante et robuste. Et aussi pas mal à la mode, il faut l’avouer. Les solutions NoSQL sont à privilégiées en cas de gros volume de données ou pour des données avec peu de structure. Mais rien ne vous empêche de les utiliser dans d’autres cas. Vu l’évolution des bases relationnelles et du SQL depuis sa naissance, j’attends de voir la progression du NoSQL.

 


Article rédigé par Garett pour aryo, le 14/05/2013. | Lien Permanent | 1 Commentaire
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Amelia et les animaux #photos

mardi 7 mai 2013 à 18:22

La photographe Robin Schwartz a réalisé une série de photos très chouette, avec sa fille, pendant plus de 10 ans, qui pourrait faire rêver plus d’un(e) amoureux des animaux. Amelia se retrouve donc sur ces clichés entourée de chiens, chats mais aussi éléphants, girafes, singes et autres kangourous. Je vous laisse profiter des clichés (la totalité est ici).

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[Source] [via]


Article rédigé par Arthur pour aryo, le 07/05/2013. | Lien Permanent | 0 Commentaire
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