Sweetie, 10 ans, Philippine et chasseuse de pédophiles.
mardi 5 novembre 2013 à 18:53 L'ONG Terre Des Hommes, a décidé de jouer le rôle de lanceur d'alerte contre la pédophilie sur Internet et contre ce qu'ils appellent « tourisme sexuel avec enfants par webcam interposées », avec ce vaste programme et à l'aide de : Sweetie.
Il y a quelques semaines de cela, l'ONG a publié ses résultats. Et l'expérience s'est avérée fort concluante ! Plus de 20 000 prédateurs l'ont approchée. Plus de 1 000 d'entre eux ont pu être identifiés et leurs dossiers ont été envoyés aux autorités compétentes, notamment à Interpol.
L'expérience a duré dix semaines, dix semaines pendant lesquelles une équipe de quatre personnes se sont servi de Sweetie, la petite fille virtuelle, afin de discuter avec des hommes du monde entier, pour constater l'étendue et l'ampleur de ce phénomène, surtout aux Philippines.
Le directeur de la branche Néerlandaise, Albert Jaap Van Santbrink, nous explique que, sur ces 20 000 hommes, il y a aucune catégorie type. Ils viennent tous de milieux sociaux différents, de pays différents, mariés ou célibataires, pères de famille ou non, enfin bref, vous l'aurez compris, il n'y a vraiment aucune catégorie type !
Pour identifier ces hommes, l'ONG a laissé sous-entendre qu'il n'y avait rien de plus simple. Ne se croyant aucunement observés, les hommes, ont laissés toutes les informations sur internet, permettant de les confondre ! Adresse postale, adresse mail, numéro de téléphone, nom, prénom, enfin tout ce qui permettait de les identifier !
Souhaitant anticiper toute polémique, lONG assure navoir jamais rien proposé mais sêtre laissé contacter et avoir attendu les propositions spontanées de ces personnes. Hans Guyt, le responsable de lenquête avoue :
L'opération avait aussi pour but de montrer aux autorités, qu'avec la même méthode, mais avec une plus grande équipe et plus de moyens, le nombre de prédateurs pourrait considérablement augmenter ! L'autre but, était aussi de sensibiliser à la population mondiale à un phénomène qui reste encore tabou dans notre société actuelle.
Et pour finir, voilà la vidéo du projet :
News, relue par , merci à lui !
Il y a quelques semaines de cela, l'ONG a publié ses résultats. Et l'expérience s'est avérée fort concluante ! Plus de 20 000 prédateurs l'ont approchée. Plus de 1 000 d'entre eux ont pu être identifiés et leurs dossiers ont été envoyés aux autorités compétentes, notamment à Interpol.
L'expérience a duré dix semaines, dix semaines pendant lesquelles une équipe de quatre personnes se sont servi de Sweetie, la petite fille virtuelle, afin de discuter avec des hommes du monde entier, pour constater l'étendue et l'ampleur de ce phénomène, surtout aux Philippines.
Le directeur de la branche Néerlandaise, Albert Jaap Van Santbrink, nous explique que, sur ces 20 000 hommes, il y a aucune catégorie type. Ils viennent tous de milieux sociaux différents, de pays différents, mariés ou célibataires, pères de famille ou non, enfin bref, vous l'aurez compris, il n'y a vraiment aucune catégorie type !
Pour identifier ces hommes, l'ONG a laissé sous-entendre qu'il n'y avait rien de plus simple. Ne se croyant aucunement observés, les hommes, ont laissés toutes les informations sur internet, permettant de les confondre ! Adresse postale, adresse mail, numéro de téléphone, nom, prénom, enfin tout ce qui permettait de les identifier !
Souhaitant anticiper toute polémique, lONG assure navoir jamais rien proposé mais sêtre laissé contacter et avoir attendu les propositions spontanées de ces personnes. Hans Guyt, le responsable de lenquête avoue :
Citation : Hans GuytSe mettre dans la peau dune fillette philippine de dix ans et voir ce que certains hommes veulent de vous a été une expérience choquante pour elles (les personnes constituant léquipe). Il y avait des demandes et des gestes vraiment obscènes
L'opération avait aussi pour but de montrer aux autorités, qu'avec la même méthode, mais avec une plus grande équipe et plus de moyens, le nombre de prédateurs pourrait considérablement augmenter ! L'autre but, était aussi de sensibiliser à la population mondiale à un phénomène qui reste encore tabou dans notre société actuelle.
Et pour finir, voilà la vidéo du projet :
News, relue par , merci à lui !