2.500 heures de pellicule, plus de 2.000 personnes interviewées dans 65 pays, une avant-première aux Nations-Unies... L'ampleur messianique du dernier projet de "YAB" donne le tournis.
Certains médias se refusent désormais à employer le mot "migrant", lui préférant le terme de "réfugié". C'est que ce choix sémantique a des répercutions sociétales et politiques.