L'irréductible opposant aurait fini par demander la grâce, reconnaissant ainsi en quelque sorte sa culpabilité. Khodorkovski obtient la liberté, Poutine apparaît en maître magnanime, mais absolu .
Interrogé sur les attaques dont il est la cible au sein de sa propre majorité, le Premier ministre a répondu : "Ce n'est pas nouveau, mon prédécesseur a connu ça".