Sous la pression de la communauté internationale, le Mali a été forcé d'organiser des élections au plus vite. Elles auront lieu dimanche et avec le risque d'une crise post-électorale.

C'est l'hypothèse la plus logique alors que le parti doit théoriquement trouver encore 4 millions d'ici le 31 juillet.

"Je tiens le même discours parce que je tiens la même politique et qu'il y aura le résultat attendu", a précisé le président, en déplacement à Arles.

Le député UMP propose notamment de doubler les sanctions prévues en cas d'installation illicite sur un terrain.

Olivier Schrameck, nouveau président du CSA, envisage de lui substituer une "équité" du temps de parole dans les médias, réglage fin qui ne fait pas l'unanimité.