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Boudah Talenka

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Citations

mardi 5 juin 2007 à 00:00
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Petites compilations de pensées et de bons mots, de moi et d'autres

Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible.

Propriété et travail : Je ne comprend vraiment pas pourquoi les Hommes s'infligent de telles souffrance, pourquoi ils préfèrent accumuler contre leur travail des biens inutiles. Or souvent leur travail est une tâche aliénante et sans beauté, car réalisée sans joie. Est-ce la peur de perdre ce qu'ils croient posséder qui leur empêche de ressentir cette criante vérité ?

L'Homme : Un esprit pour comprendre le monde, des mains pour le transformer.

On ne savoure que ce qu'on espère.

Faut-il attendre qu'il n'y ait plus de nature pour que l'homme comprenne que l'argent n'est pas comestible ?

S'ennuyer : attendre un nouveau fardeau pour avancer.

Quand l'homme parviendra à un système idéal
Il s'acharnera à démontrer qu'il ne l'est pas
Et à en briser chaque pilier avec la force et le courage fou
Qui font de l'animal un homme.

De même jamais il ne goûtera au bonheur,
Non plus à la vérité, au repos, il ne les cherche pas :
Il veut juste être épargné par les rigueurs de la faim,
la crainte des lendemains incertains.

Il veut juste ne plus souffrir sans savoir pourquoi.
Ainsi l'Homme est condamné à devenir meilleur,
Passant par tous les extrêmes, et le n'importe quoi,
Tant que l'Homme sera un esprit incapable de s'assumer.

C'est à l'heure où chaque Homme doit s'éteindre que lui vient la lumière qu'il a cherché toute sa vie. La lumière blafarde de la prison pour un esprit incapable de s'assumer.

Si l'humanité venait à disparaître, c'est qu'elle aura engendrée un démon plus vicieux qu'elle, et doté d'une arme dont tous ignorait la puissance, qui mettra fin à l'espoir des enfants. Cette arme est l'intelligence.

Alors que l'Homme s'endormait, viendra en son sein le mal incarné dans son enfant le plus cher. Cet enfant s'il n'est pas tué tuera jusqu'au dernier, pour venger le non-sacrifice.

Si l'humanité subsistait, se sera dans le deuil d'un homme trop curieux de savoir s'il n'existe pas d'issue préférable.

Les gens compliquent tout pour avoir l'impression de vivre.

La solitude, c'est l'indépendance qui présente sa note.

Au-delà de la peur, des préjugés et de l'ignorance, il y a le bonheur.

Dans ce monde complexe et sérieux, l'absurde met un peu de simplicité et de joie.

Quand j'étais petit, ma mère m'a dit que le bonheur était la clé de la vie.
À l'école, quand on m'a demandé d'écrire ce que je voulais être plus tard, j'ai répondu "heureux".
Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, je leur ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie.

La marche est la meilleure des médecine.

La réalité c'est ce qui continue d'exister lorsqu'on cesse d'y croire.

Le bonheur, ce n'est pas du prêt-à-porter, c'est du sur-mesure.

Nous repoussons toute législation,
toute autorité et toute influence,
privilégiée, officielle ou légale,
même sortie du suffrage universel,
convaincus qu'elle ne pourrait tourner
qu'au profit d'une minorité dominante,
et exploitante, contre les intérêts
de l'immense majorité asservie.
Voilà dans quel sens nous sommes des anarchistes.

Le problème dans notre société c'est le manque de respect à bien des niveaux. Concernant la crise sociale/économique/écologique, nous sommes tous à pointer du doigts les égoistes/parasites/gaspilleurs, ou bien on accusent nos représentants élus. Effectivement le problème vient des profiteurs/parasites/gaspilleurs, mais en tant qu'occidentaux nous en faisons pour la plupart partie. Effectivement c'est la faute de nos représentants, qui n'ont soit pas les compétences soit la volonté de résoudre les problèmes. Conclusion : en dernière analyse, c'est le peuple, par ses actions et ses inactions, qui est coupable. La solution sera donc très sociale (à l'échelle des individus), un peu politique, et très peu technique. La sobriété et le respect suffirait presqu'à résoudre le problème.

On détruit les richesses naturelles plus vite qu'on ne crée des richesses économiques.

J'ai tenu le soleil dans la coupe de mes mains,
On n'est pas les seuls à se sentir étrangers.

La marche du Lapin est semée d'embûches
que fait sans fin surgir l’œuvre du chasseur.

Bénit soit-il l'écolo halluciné qui au nom de mère nature
payent son coup aux sobres
dans la prairie de l'ombre, de la mort et des larmes,
car il est le barman de ses frères,
et la providence des lapins égarés.

J'abattrai alors le bras d'une terrible colère,
d'une vengeance furieuse et effrayante,
sur les traqueurs impies qui pourchassent
et réduisent à néant les lapins de Dieu.

Et tu verras, pourquoi mon nom est Gueule-de-bois,
quand tu te réveilleras hagard et impuissant.

Nous refusons toute dilution,
toute autorité, tout mélange,
fruité, sucré, salé ou acide,
même réalisé par un barman professionnel,
convaincu qu’elle ne peut jamais tourner
qu’au profit d’une ébriété décevante et épuisante
contre les intérêts de l’immense majorité des lapins enivrés.
Voilà comment on boit à Talenka.