Suite à la crue de la Seine survenue en janvier, et comme en juin 2016, la ville de Puteaux est reconnue en état de catastrophe naturelle.

La reconnaissance en état de catastrophe naturelle ouvre droit à la garantie des assurés contre les effets des catastrophes naturelles sur les biens qui ont été assurés.

A Puteaux, une partie de l'île a été inondée. Les dégâts sont importants dans le parc Lebaudy, dont les installations avaient été refaites après la crue de 2016. 

Sur les quais de Seine, côté ville, des sous-sols d'immeubles ont aussi été inondés.

Mon message au maire envoyé dès le 23 janvier a permis une plus grande réactivité de la municipalité : La ville a multiplié les messages d'avertissement sur les réseaux sociaux. C'est une bonne chose, mais c'est insuffisant. Des pompes auraient pu être ainsi pré-positionnées par les services communaux afin d'éviter l'inondation de parkings et de caves de particuliers.
La prévention n'est donc pas suffisante. Pourtant Puteaux est particulièrement exposée. Nous en avons la démonstration. Le constat est aussi que si une catastrophe plus importante survenait, notre municipalité n'est pas du tout prête à y faire face.
Christophe Grébert

VOIR MES NOTES SUR

• LA CRUE 2018
• LA CRUE 2016

(photo : le parc Lebaudy après la décrue de la Seine, Flickr)

🔴Ile-de-France : la liste des 159 communes reconnues en état de #catastrophe naturelle ⤵️ #indemnisation #inondation https://t.co/rXoiITJtdl pic.twitter.com/6V9wqSBtUx

— France Bleu Paris (@francebleuParis) 15 février 2018

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#Crue de la #Seine : #Puteaux reconnue en état de catastrophe naturelle

"Le constat est que si une catastrophe plus importante survenait, notre municipalité n'est pas du tout prête à y faire face" @grebert #hautsdeseine #grandParis #iledefrance

https://t.co/YTIDxdvMg3

— MonPuteaux (@monputeaux) 15 février 2018

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Dans le bas de #Puteaux, les habitants ont utilisé des pompes pour évacuer l'eau qui s'infiltrait dans les caves. Ils ont du se débrouiller. #crue #seine #inondation #hautsdeseine #grandParis #iledefrance
Ailleurs, des communes agissent : https://t.co/0iJddOL1Z0

— Christophe Grébert (@grebert) 15 février 2018

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