Source : DRM Denuvo : Victoire des pirates contre la protection réputée « inviolable » | UnderNews – Liens d’un Parigot-Manchot

Le crack ultime existe pourtant déjà : déporter une partie du code du jeu sur des serveurs. C’est le cas par exemple de Diablo III : les mobs sont générés par un serveur, ce qui implique une connexion internet obligatoire même en solo.

Cracker le jeu revient à développer un serveur privé d’un MMO, avec ce que cela implique de bugs en tout genre. Pas sûr que l’investissement en vaille la chandelle pour le pirate.

Je ne comprends pas qu’on puisse encore pirater ses jeux. J’ai piraté jusqu’à l’arrivée de Steam : mises à jour automatiques des jeux, crack no CD de base (rappelez-vous l’époque où pour jouer il fallait lever ses fesses pour aller chercher le CD), et surtout prix très faibles si l’on accepte de jouer avec 2 ans d’intervalle ! Maintenant il existe en plus des plateforme comme GoG, où les jeux sont sans DRM, on peut même acheter « équitable » (oui, comme le chocolat ou le café, j’invente des termes).

Surtout qu’il ne faut pas se leurrer : le gars qui crack le jeu, il ne prend pas des risques pénaux inutilement, il y gagne forcément de l’argent. En blindant le jeu cracké de mineur de bitcoin par ex ? Ou pire, avec un virus voleur de mots de passe et de données personnelles ?

L’achat dématérialisé devient la norme, et ce dernier propose toujours de GROSSES promotions. Forcément, on réduit énormément les coûts de diffusion. Avec un peu de patience, on peut donc tout avoir à faible prix, plus d’excuses pour pirater quoi que ce soit sur sa machine.

La seule chose que je pirate encore, c’est les films et séries. Netflix c’est génial sur le papier. Mais dans les faits, avoir les films après plusieurs années de leur sortie cinéma est stupide (qui se rappelle et a envie de voir le film sorti il y a 3 ans ?), et les droits pour telle ou telle série fait que le catalogue ne contient pas tout, inutile donc.