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Le Guide Libre Association disponible au Forum National des Associations & Fondations le 22 octobre 2014

lundi 20 octobre 2014 à 08:58
Guide Libre Association

Paris, le 20 octobre 2014. Communiqué de presse.

Devant le succès de son « Guide Libre Association » édité en 2012, l'April a réédité ce guide destiné à donner à chaque association les clés de ses libertés informatiques. Le guide sera disponible au Forum National des Associations & Fondations le 22 octobre 2014 sur les stands du Crédit Coopératif et de Associations mode d'emploi.

Dans le cadre de notre groupe de travail « Libre Association », nous avons entrepris depuis plusieurs années de « construire des ponts entre les logiciels libres et le monde associatif ». En 2012, nous avons réalisé un guide répertoriant des méthodes et des outils de travail adaptés aux besoins des associations. Il est disponible en version Web et en version papier (PDF). Le projet initial a vu le jour grâce au soutien de la Fondation Crédit Coopératif. Suite à une campagne de dons et au soutien de la Macif, nous avons procédé récemment à la réimpression de 8 000 exemplaires du guide.

Des exemplaires du guide seront disponibles sur les stands respectifs du Crédit Coopératif et de Associations mode d'emploi lors du Forum National des Associations et Fondations le 22 octobre 2014. Les autres exemplaires seront mis à disposition ultérieurement, via le site web.

« Il convient d'arrêter de reléguer la question informatique à une unique problématique technique. Une prise de conscience est nécessaire, un réel besoin de considérer enfin la question de la préférence systématique aux logiciels libres comme un véritable enjeu politique au sein des associations ! » estime Laurent Costy, administrateur de l'April et co-animateur du groupe de travail Libre Association. « Le guide apporte ainsi des arguments en ce sens et vous aidera à convaincre élus et salariés au sein de votre association » conclut-il.

Laurent Costy est l'auteur d'une récente tribune Pourquoi les associations doivent faire l'effort d'utiliser le plus grand nombre possible de logiciels libres.

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 4 000 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Laurent Costy, administrateur de l'April et co-animateur du groupe de travail Libre Association, lcosty@april.org +33 6 80 70 44 41

Le Guide Libre Association disponible au Forum National des Associations & Fondations le 22 octobre 2014

lundi 20 octobre 2014 à 08:58
Guide Libre Association

Paris, le 20 octobre 2014. Communiqué de presse.

Devant le succès de son « Guide Libre Association » édité en 2012, l'April a réédité ce guide destiné à donner à chaque association les clés de ses libertés informatiques. Le guide sera disponible au Forum National des Associations & Fondations le 22 octobre 2014 sur les stands du Crédit Coopératif et de Associations mode d'emploi.

Dans le cadre de notre groupe de travail « Libre Association », nous avons entrepris depuis plusieurs années de « construire des ponts entre les logiciels libres et le monde associatif ». En 2012, nous avons réalisé un guide répertoriant des méthodes et des outils de travail adaptés aux besoins des associations. Il est disponible en version Web et en version papier (PDF). Le projet initial a vu le jour grâce au soutien de la Fondation Crédit Coopératif. Suite à une campagne de dons et au soutien de la Macif, nous avons procédé récemment à la réimpression de 8 000 exemplaires du guide.

Des exemplaires du guide seront disponibles sur les stands respectifs du Crédit Coopératif et de Associations mode d'emploi lors du Forum National des Associations et Fondations le 22 octobre 2014. Les autres exemplaires seront mis à disposition ultérieurement, via le site web.

« Il convient d'arrêter de reléguer la question informatique à une unique problématique technique. Une prise de conscience est nécessaire, un réel besoin de considérer enfin la question de la préférence systématique aux logiciels libres comme un véritable enjeu politique au sein des associations ! » estime Laurent Costy, administrateur de l'April et co-animateur du groupe de travail Libre Association. « Le guide apporte ainsi des arguments en ce sens et vous aidera à convaincre élus et salariés au sein de votre association » conclut-il.

Laurent Costy est l'auteur d'une récente tribune Pourquoi les associations doivent faire l'effort d'utiliser le plus grand nombre possible de logiciels libres.

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 4 000 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Laurent Costy, administrateur de l'April et co-animateur du groupe de travail Libre Association, lcosty@april.org +33 6 80 70 44 41

La vente forcée aurait-elle ses jours comptés ?

lundi 13 octobre 2014 à 08:22

Paris, le 13 octobre 2014. Communiqué de presse.

Le 11 septembre 2014, la Cour de cassation italienne a rendu une décision attendue sur les questions de vente forcée [it], en condamnant la société HP à rembourser à un consommateur les licences des logiciels pré-installés sur son ordinateur et qu'il ne souhaitait pas acquérir. L'April félicite l'association ADUC1, qui a porté l'action, ainsi que Marco Ciurcina, avocat, pour le résultat obtenu.

Selon la sentence 19161/14 de la Troisième section civile de la Cour de cassation italienne2,

"CHI ACQUISTA un computer sul quale sia stato preinstallato dal produttore un determinato software di funzionamento (sistema operativo) ha il diritto, qualora non intenda accettare le condizioni della licenza d'uso del software propostegli al primo avvio del computer, di trattenere quest' ultimo restituendo il solo software oggetto della licenza non accettata, a fronte del rimborso della parte di prezzo ad esso specificamente riferibile".

« La personne qui achète un ordinateur sur lequel le producteur a préinstallé un logiciel particulier de fonctionnement (système d'exploitation) a le droit, au premier allumage de l'ordinateur, si elle n'a pas l'intention d'accepter les conditions de la licence d'usage du logiciel qui lui est proposé, de conserver l'ordinateur et de rendre uniquement le logiciel objet de la licence qu'elle refuse, moyennant le remboursement de la partie de prix qui s'y rapporte. » (traduction par nos soins)

« Non sussiste un’ipotesi di collegamento negoziale tra i contratti di compravendita di un “notebook” e di una licenza d’uso di sistema operativo, non essendo gli stessi diretti a realizzare uno scopo pratico unitario, sicché, ove l’acquirente esprima – all’avvio del computer – una manifestazione negativa di volontà all’uso di detto sistema, essa è destinata a ripercuotersi esclusivamente nel contratto in cui è stata manifestata, non comportando lo scioglimento dell’intera operazione »

"il n'existe aucune hypothèse de lien préétabli entre le contrat d'achat d'un "notebook" et le contrat d'achat de la licence d'usage d'un système d'exploitation : les deux produits n'ont pas le même but pratique unitaire. Si le client exprime, à l'allumage de l'ordinateur, son refus d'utiliser ce système d'exploitation, ce refus ne s'exprime que sur le contrat concernant la licence du système d'exploitation et n'entraîne pas l'annulation de toute la vente (matériel et logiciel)." (traduction par nos soins)

Cette décision, même si elle n'interdit pas la vente forcée en tant que telle, permet au moins aux consommateurs de se faire rembourser le prix des logiciels qu'ils n'ont pas souhaités acquérir. Cette décision est donc une bonne nouvelle pour les consommateurs en général et pour les utilisateurs de logiciels libres en particulier, leur permettant de récupérer le montant des licences vendues de force avec les machines, et ce d'autant plus que le jugement semble critiquer les licences logiciels liées à une machine précise (licences OEM), comme le présente d'ailleurs la Cour de cassation :

In questo modo, si verificherebbero "riflessi a cascata in ordine all'imposizione sul mercato di ulteriore software applicativo la cui diffusione presso i clienti finali troverebbe forte stimolo e condizionamento, se non vera e propria necessità, in più o meno intensi vincoli di compatibilità ed interoperabilità (che potremo questa volta definire 'tecnologici ad effetto commerciale') con quel sistema operativo, almeno tendenzialmente monopolista".

De cette façon, on assisterait « à des effets en cascade sur le marché subséquent des logiciels, avec pour les clients finaux, une forte incitation ou un conditionnement, sans réelle nécessité, à cause des contraintes plus ou moins intenses de compatibilité et d'interopérabilité (que nous pouvons définir comme "technologies avec effet commercial") avec ce système d'exploitation, entrainant des tendances monopolistiques.» (traduction par nos soins)

En d'autres termes, le juge considère que l'association entre matériel et logiciel n'est pas une nécessité technologique, elle est commerciale. Refuser le remboursement de la licence « va à l'encontre des lois qui protègent la liberté de choix des consommateurs et à l'encontre de la libre concurrence entre les entreprises » , avec un objectif de monopole.

« On assiste donc, avec cette décision, à une condamnation claire de la vente forcée entre un ordinateur et des logiciels, pratique dangereuse tant pour les droits des consommateurs que pour la concurrence », conclut Jeanne Tadeusz, responsable des affaires publiques de l'April. « L'April se réjouit de cette bonne nouvelle pour les consommateurs italiens, et espère que cette jurisprudence sera suivie dans toute l'Europe ».

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 4 000 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Jeanne Tadeusz, responsable affaires publiques, jtadeusz@april.org +33 1 78 76 92 82

La vente forcée aurait-elle ses jours comptés ?

lundi 13 octobre 2014 à 08:22

Paris, le 13 octobre 2014. Communiqué de presse.

Le 11 septembre 2014, la Cour de cassation italienne a rendu une décision attendue sur les questions de vente forcée [it], en condamnant la société HP à rembourser à un consommateur les licences des logiciels pré-installés sur son ordinateur et qu'il ne souhaitait pas acquérir. L'April félicite l'association ADUC1, qui a porté l'action, ainsi que Marco Ciurcina, avocat, pour le résultat obtenu.

Selon la sentence 19161/14 de la Troisième section civile de la Cour de cassation italienne2,

"CHI ACQUISTA un computer sul quale sia stato preinstallato dal produttore un determinato software di funzionamento (sistema operativo) ha il diritto, qualora non intenda accettare le condizioni della licenza d'uso del software propostegli al primo avvio del computer, di trattenere quest' ultimo restituendo il solo software oggetto della licenza non accettata, a fronte del rimborso della parte di prezzo ad esso specificamente riferibile".

« La personne qui achète un ordinateur sur lequel le producteur a préinstallé un logiciel particulier de fonctionnement (système d'exploitation) a le droit, au premier allumage de l'ordinateur, si elle n'a pas l'intention d'accepter les conditions de la licence d'usage du logiciel qui lui est proposé, de conserver l'ordinateur et de rendre uniquement le logiciel objet de la licence qu'elle refuse, moyennant le remboursement de la partie de prix qui s'y rapporte. » (traduction par nos soins)

« Non sussiste un’ipotesi di collegamento negoziale tra i contratti di compravendita di un “notebook” e di una licenza d’uso di sistema operativo, non essendo gli stessi diretti a realizzare uno scopo pratico unitario, sicché, ove l’acquirente esprima – all’avvio del computer – una manifestazione negativa di volontà all’uso di detto sistema, essa è destinata a ripercuotersi esclusivamente nel contratto in cui è stata manifestata, non comportando lo scioglimento dell’intera operazione »

"il n'existe aucune hypothèse de lien préétabli entre le contrat d'achat d'un "notebook" et le contrat d'achat de la licence d'usage d'un système d'exploitation : les deux produits n'ont pas le même but pratique unitaire. Si le client exprime, à l'allumage de l'ordinateur, son refus d'utiliser ce système d'exploitation, ce refus ne s'exprime que sur le contrat concernant la licence du système d'exploitation et n'entraîne pas l'annulation de toute la vente (matériel et logiciel)." (traduction par nos soins)

Cette décision, même si elle n'interdit pas la vente forcée en tant que telle, permet au moins aux consommateurs de se faire rembourser le prix des logiciels qu'ils n'ont pas souhaités acquérir. Cette décision est donc une bonne nouvelle pour les consommateurs en général et pour les utilisateurs de logiciels libres en particulier, leur permettant de récupérer le montant des licences vendues de force avec les machines, et ce d'autant plus que le jugement semble critiquer les licences logiciels liées à une machine précise (licences OEM), comme le présente d'ailleurs la Cour de cassation :

In questo modo, si verificherebbero "riflessi a cascata in ordine all'imposizione sul mercato di ulteriore software applicativo la cui diffusione presso i clienti finali troverebbe forte stimolo e condizionamento, se non vera e propria necessità, in più o meno intensi vincoli di compatibilità ed interoperabilità (che potremo questa volta definire 'tecnologici ad effetto commerciale') con quel sistema operativo, almeno tendenzialmente monopolista".

De cette façon, on assisterait « à des effets en cascade sur le marché subséquent des logiciels, avec pour les clients finaux, une forte incitation ou un conditionnement, sans réelle nécessité, à cause des contraintes plus ou moins intenses de compatibilité et d'interopérabilité (que nous pouvons définir comme "technologies avec effet commercial") avec ce système d'exploitation, entrainant des tendances monopolistiques.» (traduction par nos soins)

En d'autres termes, le juge considère que l'association entre matériel et logiciel n'est pas une nécessité technologique, elle est commerciale. Refuser le remboursement de la licence « va à l'encontre des lois qui protègent la liberté de choix des consommateurs et à l'encontre de la libre concurrence entre les entreprises » , avec un objectif de monopole.

« On assiste donc, avec cette décision, à une condamnation claire de la vente forcée entre un ordinateur et des logiciels, pratique dangereuse tant pour les droits des consommateurs que pour la concurrence », conclut Jeanne Tadeusz, responsable des affaires publiques de l'April. « L'April se réjouit de cette bonne nouvelle pour les consommateurs italiens, et espère que cette jurisprudence sera suivie dans toute l'Europe ».

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 4 000 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
Jeanne Tadeusz, responsable affaires publiques, jtadeusz@april.org +33 1 78 76 92 82

Le futur Commissaire européen Andrus Ansip affiche son soutien au logiciel libre

mercredi 8 octobre 2014 à 11:45

Paris, le 8 octobre 2014, communiqué de presse.

Lors de son audition par le Parlement européen, Andrus Ansip, commissaire européen désigné pour le marché unique numérique, a plusieurs fois exprimé son soutien au logiciel libre. L'April espère que c'est le signe de la mise en place d'une politique volontariste en faveur du logiciel libre.

Dans le cadre de la procédure de mise en place de la nouvelle Commission européenne, chaque commissaire européen désigné est auditionné par les commissions parlementaires responsables du portefeuille qui lui a été attribué et répond aux questions qui lui sont posées.

Lundi 6 octobre 2014, Andrus Ansip, le commissaire européen désigné pour le marché unique numérique, a clairement indiqué que la Commission européenne devait encourager l'usage du logiciel libre et il s'est engagé à soutenir le développement de l'usage du logiciel libre. Évoquant sa propre expérience, il a également expliqué que, lorsqu'il était Premier ministre de l'Estonie, il avait fait en sorte que tout logiciel financé par des fonds européens soit disponible pour tous1.

Une semaine après l'audition de Günther Oettinger qui avait refusé de répondre à la question posée par une eurodéputée sur le logiciel libre, l'audition d'Andrus Ansip a laissé une bien meilleure impression. Andrus Ansip a montré une connaissance du sujet dont il sera responsable.

« Nous nous réjouissons des propos du commissaire désigné Andrus Ansip concernant le logiciel libre. Nous espérons que cette bienveillance manifestée lors de son audition se traduira par des actes avec la mise en place d'une politique publique européenne qui favorisera dans tous les domaines le développement et l'utilisation des logiciels libres » a déclaré Frédéric Couchet, délégué général de l'April.

À propos de l'April

Pionnière du logiciel libre en France, l'April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l'espace francophone. Elle veille aussi, à l'ère du numérique, à sensibiliser l'opinion sur les dangers d'une appropriation exclusive de l'information et du savoir par des intérêts privés.

L'association est constituée de plus de 4 000 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d'informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l'adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31