dimanche 14 octobre 2012 à 15:38
Juste un truc sur
cet article qui est linké dans le texte, et qui est la (une des?) réaction(s) - que je n'avais pas lue à l'époque - de Paul lors de la dernière grosse polémique charlie hebdo avec Mahomet. Je cite :
« On parle ici de gens intelligents, sachant très bien à quoi ils sexposent en publiant des dessins de ce type dans ce contexte, qui le font sous prétexte de la liberté dexpression. »
J'ai placé ce commentaire sous l'article de septembre 2012 :
« Non, ils le font pour des raisons politico-humoristiques d'abord (dénoncer et se poiler), et ensuite ils prennent le prétexte (est-ce vraiment un prétexte ?) de la liberté d'expression face aux réactions (et parfois même avant les dites réactions, comme pour se protéger à l'avance) hostiles. Cela dit je suis tout à fait d'accord avec la 2nde phrase (Mais plus que la démarche, ce sont les réactions quil faut regarder
) »
La liberté d'expression est une fin en soi.
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dimanche 14 octobre 2012 à 14:02
« Selon les partisans de la légalisation de la drogue, la dépénalisation de la consommation devrait être adoptée dans dautres pays. Dans une récente étude, Jeffrey Miron, un professeur déconomie de lUniversité Harvard, estime que le gouvernement américain économiserait 41,3 G$ en frais de police, de justice et de prison sil légalisait la drogue et quil percevrait du même coup 46,7 G$ en recettes fiscales. «Le bénéfice assuré le plus important de la légalisation est la réduction des dépenses gouvernementales, tandis que les recettes fiscales sont plus difficiles à estimer», déclare-t-il à Métro.
Depuis que le Portugal a libéralisé sa loi sur la drogue, il a enregistré des progrès remarquables. La proportion dutilisateurs de drogues injectables y a diminué de moitié, pour sétablir à 0,5 % de la population. La consommation globale de stupéfiants y est inférieure à la moyenne de lUnion européenne. En 2011, seuls 6,6 % des Portugais âgés de 15 à 24 ans fumaient du cannabis, comparativement à 29,7 % en République tchèque et à 23,9 % en Espagne. Et les tribunaux portugais peuvent aujourdhui se consacrer au traitement de méfaits plus sérieux. »
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dimanche 14 octobre 2012 à 01:33
« El Haj Abdeslam, résident des montagnes, possède quelques champs de kif dont la culture lui permet de subvenir aux besoins de sa famille. « Les temps sont de plus en plus durs et les besoin des enfants de plus en plus importants », confie-t-il. El Haj est un ancien combattant des armées dAbdelkrim El Khattabi. A cet effet, il dispose dun document datant de la fin des années cinquante qui lautorisent à cultiver le Kif et le vendre à la Régie des tabacs. Mais la Régie ayant été privatisée, aucun officiel ne se présente plus chez El Haj, alors, il vend son kif à des trafiquants à prix situés entre 1200 et 1500 dirhams. »
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