PROJET AUTOBLOG


Korben

source: Korben

⇐ retour index

Une IA qui détecte les sous-marins avec 95% de précision

mardi 16 septembre 2025 à 19:05

Bon alors, imaginez deux secondes… Vous êtes commandant de sous-marin nucléaire, tranquille à 300 mètres sous l’eau dans votre grosse boîte de conserve à 4 milliards d’euros. Pendant des décennies, votre job consistait essentiellement à jouer à cache-cache dans l’immensité océanique, en mode Octobre Rouge, persuadé que personne ne pouvait vous trouver dans ce territoire grand de 361 millions de km². Et là, paf, des chercheurs chinois débarquent avec leur IA qui est capable de vous détecter avec 95% de précision . Y’a de quoi avoir le seum.

Hé oui, c’est un triste jour car l’océan vient officiellement de perdre son dernier mystère. D’après une étude publiée dans Electronics Optics & Control , cette nouvelle IA militaire développée par l’équipe de Meng Hao de l’Institut chinois de recherche sur les hélicoptères transforme tout simplement les abysses en aquarium encore transparent que celui de Maurice votre poisson rouge. Fini l’époque où un sous-marin pouvait disparaître dans les profondeurs comme un ninja en maillot de bain. Maintenant, vous avez seulement 5% de chances de vous en sortir donc autant dire que c’est moins probable que de gagner à la tombola de votre CE.

Cette IA, elle ne fait pas que détecter. Elle agit comme un “commandant intelligent” qui fusionne en temps réel les données de tout un tas de capteurs : sonar, radar, température de l’eau, salinité, anomalies magnétiques. C’est un genre de sixième sens artificiel qui “voit” ce que les humains ne peuvent même pas voir. Le système crée ainsi une synesthésie numérique où la température devient une couleur, le magnétisme devient une forme, et salinité devient un mouvement…

Bref, les sous-marins américains, ces joujoux nucléaires censés garantir la dissuasion, se retrouvent soudain aussi discrets qu’un influenceur sur TikTok. Et le truc vraiment dingue avec cette IA c’est qu’elle communique même avec les opérateurs humains via des modèles de langage naturel , style ChatGPT des profondeurs. Comme ça, au lieu de regarder des écrans radars incompréhensibles avec des bips anxiogènes, le mec reçoit des instructions claires du genre “Sous-marin détecté à 3km nord-ouest, probabilité 97%, déployer contre-mesures recommandé”. C’est Alexa, mais pour la guerre sous-marine.

Ça me rappelle vite fait de loin ce qui s’est passé avec notre vie privée. Dans les années 90, on pensait qu’internet nous rendrait anonymes et libres et aujourd’hui, notre grille-pain connecté est la pire des balances…

Avant, un seul sous-marin pouvait tenir en respect toute une flotte, menacer des villes entières, ou simplement disparaître pendant des mois sans que personne ne sache où il était. Le fantasme ultime du militaire ou du père absent… Mais avec 95% de détection en simulation , même en utilisant des leurres, des drones sous-marins ou en zigzaguant comme un lapin poursuivi par un chasseur bourré, vous êtes grillé. L’IA anticipe vos mouvements, s’adapte à vos feintes, et continue de vous traquer comme Terminator.

En début d’année, les chinois toujours ont également mis au point un système qui utilise des atomes de rubidium dans des capteurs quantiques CPT montés sur des drones. Ces petits trucs détectent des variations magnétiques un milliard de fois plus faibles que l’aimant de votre frigo. Les capteurs sont tellement sensibles qu’ils captent la moindre perturbation du champ magnétique terrestre causée par la masse métallique d’un sous-marin. Donc autant dire que ce truc + leur IA, on est cuit !

Ah et les Américains ne sont pas en reste. Ils bossent sur leur propre technologie SQUID (Superconducting Quantum Interference Device) qui pourrait théoriquement détecter un sous-marin à 6 kilomètres de distance, contre 800 mètres pour les systèmes actuels. On est donc dans une course technologique où chaque camp essaie de rendre l’océan plus transparent que l’autre…

C’est la fin d’un concept vieux comme l’humanité… Car depuis la préhistoire, se planquer était une stratégie de survie basique et maintenant, entre les satellites, les drones, les capteurs quantiques et l’IA, il n’y a littéralement plus aucun endroit sur Terre où disparaître. Même au fond de la fosse des Mariannes, une IA pourrait probablement vous retrouver en analysant les perturbations gravitationnelles de votre présence.

Et le pire dans tout ça c’est que cette technologie ne va faire que s’améliorer. Les capteurs SERF promettent une sensibilité au niveau du femtotesla, mille fois plus précis que les systèmes actuels ce qui fait que dans quelques années, on pourra probablement détecter un poisson rouge dans un bocal depuis l’espace.

Les océans ne seront plus ces vastes étendues mystérieuses pleines de secrets militaires, mais des espaces totalement cartographiés où chaque mouvement sera enregistré, analysé, prédit.

Snif…�����

VapeServer - Il transforme une cigarette électronique en serveur web

mardi 16 septembre 2025 à 17:19

Un ingénieur qui s’appelle Bogdan a eu une révélation en regardant son tas de vapes jetables qui s’accumulait sur son bureau. Au lieu de se dire “Allez, go la déchèterie”, il a eu cette pensée bizarre… et si ces trucs avaient une seconde vie ? Et c’est là, mes petits Kévins, que commence une histoire qui va vous mettre des paillettes dans la vie

Parce que figurez-vous que Bogdan a réussi l’impossible. Il a tout simplement transformé une vape jetable toute nulle en serveur web fonctionnel. Car vous ne le savez peut-être pas, mais cette petite chose que vous balancez après quelques bouffées contient en fait un processeur ARM Cortex M0+ cadencé à 24 MHz, 24 kilooctets de mémoire flash et 3 Ko de RAM statique. Pour vous donner une idée, c’est plus puissant que les premiers serveurs web des années 90. On jette donc littéralement à la poubelle, des ordinateurs après les avoir utilisés comme totote électroniques.

Et pour réussir son coup, il a dû ressusciter une technologie qu’on croyait morte et enterrée : le SLIP (ça ne s’invente pas…) c’est à dire le Serial Line Internet Protocol. J’sais pas si vous souvenez de cette époque glorieuse des modems 56K où on attendait trois heures pour télécharger une chanson MP3. Eh bien SLIP, c’était le protocole qui permettait de faire passer du TCP/IP sur une liaison série. Une technologie de 1988 donc qui se retrouve à faire tourner un serveur web en 2025 sur du hardware ultra-moderne. C’est du même niveau que de brancher un Minitel sur la fibre optique et découvrir que ça marche impecc'.

Alors au début, les performances étaient… comment dire… merdiques. Des pings à 1,5 seconde, 50% de perte de paquets, et 20 secondes pour charger une page web. Autant dire que même les sites gouvernementaux français semblaient ultra véloces en comparaison. Mais Bogdan a optimisé son bébé à fond, notamment en implémentant un buffer circulaire pour améliorer les transferts de données. Résultat final : 20 millisecondes de ping, zéro perte de paquet, et 160 millisecondes pour charger une page.

Du niveau d’un vrai serveur, quoi… Mon site pourrait tourner avec ce truc (et Cloudflare en front ^^).

Le truc qui m’épate le plus, c’est qu’il a réussi à porter la pile TCP/IP uIP sur ce microcontrôleur PUYA C642F15/PY32F002B. Pour ceux qui ne connaissent pas, uIP est une implémentation ultra-légère de TCP/IP créée spécifiquement pour les systèmes avec très peu de mémoire. Selon le blog de Bogdan , toute cette prouesse technique tient dans moins de 24 Ko, soit la taille de votre dernier Sexto.

Mais attendez, parce que le vrai vertige arrive maintenant. Au Royaume-Uni seulement, selon cette étude , ce sont 1,3 million de vapes jetables qui finissent à la poubelle chaque semaine. Perso, maintenant je vois ça comme 1,3 million d’ordinateurs ARM parfaitement fonctionnels qui partent en fumée, si vous me passez l’expression. C’est comme si on jetait 67 millions d’iPhone par an, juste parce qu’on a fini son coup de fil…

Et ce que Bogdan nous montre avec son VapeServer, accessible à l’adresse ewaste.fka.wtf (qui était en rade au moment où j’écris ces lignes, victime de son succès… y’a un miroir ici .), c’est que notre définition du “jetable” est complètement à côté de la plaque. Ces objets qu’on balance sans réfléchir sont en fait des objets en attente d’une nouvelle vie… D’ailleurs, si ça vous intéresse, son code source est disponible sur GitHub ici , et croyez-moi, ça vaut le détour si vous voulez comprendre comment faire communiquer des époques séparées de 25 ans.

Il utilise notamment pyOCD, socat et slattach pour créer une interface réseau virtuelle, configure l’adressage IP sur 192.168.190.0/24, et hop, le tour est joué.

pyocd gdb -S -O semihost_console_type=telnet -T $(PORT) $(PYOCDFLAGS) &
socat PTY,link=$(TTY),raw,echo=0 TCP:localhost:$(PORT),nodelay &
sudo slattach -L -p slip -s 115200 $(TTY) &
sudo ip addr add 192.168.190.1 peer 192.168.190.2/24 dev sl0
sudo ip link set mtu 1500 up dev sl0

Vous l’aurez compris, on vit vraiment entourés de trésors qu’on prend pour des déchets et chaque gadget “intelligent” qu’on jette contient des capacités de calcul qui auraient fait rêver les ingénieurs d’il y a 20 ans. Alors qu’il suffit parfois d’un regard différent, d’un peu de créativité et d’une bonne dose de compétence technique pour révéler ces super-pouvoirs cachés.

Bref, la prochaine fois que vous regardez votre tiroir rempli de vieux téléphones et autres gadgets électroniques, dites-vous que vous n’avez peut-être pas un tas de déchets sous les yeux. Vous avez peut-être un data center en puissance qui n’attend que votre imagination pour reprendre du service.

Source

Surfshark One, la suite cybersécu qui vous aide à mieux dormir

mardi 16 septembre 2025 à 08:53
– Nuit agitée fictionnelle ^^ en partenariat avec Surfshark

3h37… la cafetière grogne comme un vieux moteur diesel et moi je fixe l’écran de mon PC avec cette fichue pièce jointe .exe qui vient d’atterrir. Le titre ? « Facture impayée ». L’expéditeur ? Un coréen dont le nom ressemble à un captcha mal imprimé. Mon doigt tremble au-dessus du trackpad, et déjà mon cerveau me hurle : « Ne clique pas, gros malin. » Mais je suis crevé, ça fait 36 heures que je vous ponds des articles à la chaine … je n’ai même pas le temps de réfléchir au risque que mon doigt à déjà cliqué par réflexe. Heureusement,  Surfshark One est déjà en action.

En arrière-plan, sans que je bouge un cil, mon IP saute de Paris à Tokyo, puis à Toronto, puis à Sydney. Le botnet qui espionne ma ligne voit 4 continents défiler en moins de dix secondes ; il perd la trace, panique, et abandonne la connexion. Pas de lag, pas de coupure sur la série Netflix qui tourne en fond sur la télé, juste un léger pictogramme qui clignote dans la barre des tâches pour me dire « déplacement en cours ». Je souris, je n’ai même pas eu besoin d’ouvrir l’appli.

Le fichier .exe téléchargé par mégarde démarre dans un bac à sable invisible. L’antivirus Avira (assisté par IA) observe : tentative d’accès à la webcam, requête vers un domaine .onion, écriture dans le registre. Le verdict tombe en 0,2 seconde : comportement suspect = quarantaine immédiate. Je n’ai même pas le temps de voir la pop-up ; l’icône du bouclier redevient verte, le fichier est déjà mort et enterré dans le Cloud Protect System. Le tout sans que mon CPU ne grimpe au-dessus de 12%. Mon ordinateur continue de diffuser Spotify comme si de rien n’était.

Pendant que le malware agonise, Alert scrute déjà ses bases de fuites recensées. Mon adresse mail apparaît dans une liste fraîchement publiée sur un forum russe. Ping : notification push, SMS de secours, et un lien « Change ton mot de passe en un clic ». J’appuie (encore par réflexe conditionné, je clique tout ce qui passe ce soir), je tape « bonne-nuit-les-pirates-2025 », et c’est réglé. Trois secondes plus tard, je reçois un rapport écrit en français clair : « Aucune carte bancaire ni ID n’ont fuité, tu peux dormir tranquille. »

Mais vous me connaissez, je veux comprendre ce virus. J’ouvre Surfshark Search à 3h56, je tape « ransomware polymorphe 2025 ». Résultats : zéro pub, zéro tracker, zéro suggestions étranges sur la page de recherche. Deux liens vers des analyses techniques, un thread Reddit ultra frais. Je découvre que la même attaque a déjà visé au moins 400 personnes ces dernières heures, mais que la dernière signature est déjà dans la base virale de Surfshark depuis… 3 h 49. Autrement dit, la suite m’a protégé avant même que je ne sache vraiment par quoi j’étais visé.

Puisque j’aime vivre dangereusement, je décide de tester un site de téléchargement parmi les plus douteux pour voir si je peux réitérer l’attaque. Je clique sur « Créer un alias ». Surfshark me file instantanément « Manolo Korbera, 33 ans, Porto, plutôt bg », avec un mail @surfshark.net. Je l’utilise, je télécharge le fichier suspect, rien ne se passe : l’alias reçoit le spam, pas moi. Dans le dashboard, je clique sur « Supprimer l’alias ». Manolo disparaît, comme s’il n’avait jamais existé. Mon vrai mail reste vierge. J’aurais dû y penser à 3h37 avant le premier clic.

3h23. Woaw. Il ne s’est rien passé. Je n’ai pas cliqué sur le .exe, c’était un rêve, je me suis juste endormi sur ma chaise et à mon âge ça fait mal au dos. Un coup d’oeil rapide sur l’écran, les quatre icônes de Surfshark One clignotent calmement : VPN vert, antivirus vert, Alert vert, Search vert. Je vide ma tasse de café froid, j’éteins la lumière, et je vais enfin me coucher tranquille. Sachant que la suite continuera de s’améliorer pendant que je dors : nouvelles signatures, nouvelles adresses IP, nouvelles menaces anticipées. 

Juste avant de fermer les yeux, je me souviens de ce à quoi je pensais avant de sombrer la première fois : la nouveauté Surfshark Everlink

Grâce à une infrastructure brevetée, Surfshark redirige maintenant le tunnel vers un serveur sain automatiquement s’il y a coupure. Vous ne remarquez même pas le changement, votre IP reste cachée, votre binge YouTube ne s’interrompt pas. Votre connexion VPN devient une sorte de passerelle magique : même si le serveur sur lequel vous êtes tombe en panne ou passe en maintenance, Everlink recolle le lien en temps réel sans jamais vous déconnecter. 

Contrairement au classique « kill switch » qui coupe Internet quand le VPN lâche, Everlink guérit la connexion avant qu’elle ne meure. Résultat : zéro déconnexion, zéro exposition, même en pleine heure de pointe ou sur un Wi-Fi d’aéroport douteux. Disponible par défaut avec le protocole WireGuard sur tous vos appareils, et sans surcoût, c’est la sécurité qui roule en pilote automatique.

Je vais enfin pouvoir dormir sur mes 2 oreilles. Surtout que pour en profiter, la suite complète ne coûte que 61,83 € pour 27 mois (soit 2,29 € TTC par mois). C’est pas cher payé pour éviter des cauchemars.

Gardez une longueur d’avance ? Surfshark One est là pour vous.

BOOX Go 7 Color Gen 2 : la liseuse parfaite devient encore plus indispensable

lundi 15 septembre 2025 à 17:18
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Il y a quelques semaines, je vous disais tout le bien que je pensais de la BOOX Go 7 , cette liseuse sous Android qui a joyeusement envoyé ma Kindle à la retraite. Je la qualifiais de géniale pour sa liberté, son écran magnifique et son ergonomie parfaite. Eh bien, accrochez-vous, il y a encore mieux : BOOX a décidé de prendre ce qui était déjà excellent pour y ajouter la seule chose qui pouvait encore manquer : la couleur.

Voici la BOOX Go 7 Color Gen 2 , et je vais être direct : c’est une petite merveille.

La révolution douce de l’encre numérique en couleur

Ne vous attendez pas à l’éclat agressif d’une tablette LCD. La beauté de la technologie E-Ink, c’est son confort visuel, et la Go 7 Color le préserve à 100%. Elle intègre la dernière génération d’écrans E-Ink Kaleido 3, qui affiche 4096 couleurs. Le rendu est subtil, avec des tons pastel doux qui imitent à la perfection l’impression d’un magazine ou d’une bande dessinée.

Le plus fort ? La netteté du texte noir et blanc impeccable avec une résolution de 300 PPI, on perd un tout petit peu de contraste comme avec toutes les liseuses couleur, mais avec le retroeclairage activé, tout va bien. La couleur, elle, s’affiche en 150 PPI, ce qui est largement suffisant pour que les images, les graphiques et les couvertures de livres prennent vie sans jamais fatiguer les yeux. C’est le meilleur des deux mondes : un confort de lecture absolu pour les romans, et l’apport de la couleur là où ça compte vraiment.

Là où la couleur change absolument tout

“Ok, mais à quoi ça sert, la couleur sur une liseuse ?”, me direz-vous. C’est simple, ça ouvre des horizons de lecture jusqu’ici réservés aux tablettes, avec la fatigue visuelle en moins. Voici quelques exemples concrets :

On ne change pas une équipe qui gagne

Le plus rassurant, c’est que la Go 7 Color Gen 2 conserve tout l’ADN qui rendait sa grande sœur si géniale. On retrouve avec un immense plaisir :

  1. La liberté totale d’Android : C’est LE point fort de BOOX. L’accès au Google Play Store est toujours là. Vous pouvez installer l’appli Kindle pour lire vos livres Amazon, l’appli Kobo, celle de votre libraire, mais aussi Pocket pour sauvegarder des articles, Feedly ou Inoreader pour vos flux RSS, et même quelques jeux légers. C’est votre liseuse, vous en faites ce que vous voulez.
  2. Une ergonomie pensée pour les lecteurs : Les boutons physiques pour tourner les pages sont toujours là, et c’est un confort dont on ne peut plus se passer une fois qu’on y a goûté. La liseuse reste fine, légère (195g) et parfaitement équilibrée.
  3. Une polyvalence inégalée : Elle lit nativement tous les formats (EPUB, MOBI, PDF, CBR/CBZ…), le transfert de fichiers est un jeu d’enfant, et elle peut se transformer en un clin d’œil en carnet de notes numérique. Vous pouvez même jouer avec (je joue tout le temps aux échecs sur la mienne), et bien sûr aller sur internet.

Le Verdict : Noir & Blanc ou Couleur, laquelle choisir ?

Avec l’arrivée de ce modèle Color, BOOX ne complique pas le choix, il l’affine. La question n’est plus “quelle marque choisir ?”, mais “quelle BOOX Go 7 est faite pour moi ?”.

Dans les deux cas, vous optez pour une liseuse ouverte, puissante et respectueuse de votre liberté. En ce qui me concerne, cette version couleur a trouvé sa place dans mon sac et n’est pas près de le quitter. Disponible sur Amazon en cliquant ici !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Nintendo dévoile le premier teaser du film Super Mario Galaxy prévu pour 2026

lundi 15 septembre 2025 à 11:45

C’est officiel les amis !! Nintendo vient de lâcher une bombe lors du Nintendo Direct de vendredi dernier. La suite du carton planétaire “Super Mario Bros. le film” s’appellera “The Super Mario Galaxy Movie” et débarquera dans les salles le 3 avril 2026. Et franchement, rien qu’avec le petit teaser qu’ils nous ont balancé, on sent que ça va envoyer du lourd.

Cette annonce tombe pile poil pour célébrer les 40 ans de Super Mario Bros, sorti le 13 septembre 1985. Shigeru Miyamoto lui-même a déclaré que ce film sera “l’événement principal” de cette célébration anniversaire. Et quand on sait que le premier film a rapporté plus de 1,3 milliard de dollars au box-office mondial, je comprends pourquoi Nintendo et Illumination remettent le couvert.

Le teaser nous montre donc Mario qui fait une petite sieste sous un arbre dans le Royaume Champignon. La caméra s’éloigne doucement, nous fait traverser tout le royaume avec ses créatures emblématiques, puis s’envole vers le château de Peach avant de filer dans l’espace étoilé où le titre apparaît. Simple mais efficace, ça me donne déjà envie de replonger dans cet univers coloré et déjanté.

Côté casting, on retrouve toute la bande qui a fait le succès du premier opus. Chris Pratt reprend son rôle de Mario (oui, je sais, certains auraient préféré Charles Martinet ), Anya Taylor-Joy revient en Princesse Peach, Charlie Day en Luigi et bien sûr l’excellent Jack Black en Bowser. Keegan-Michael Key sera également de retour en Toad et Kevin Michael Richardson reprendra le rôle de Kamek.

Le film s’inspire directement du jeu culte Super Mario Galaxy sorti en 2007 sur Wii. Pour ceux qui n’y ont pas joué (mais qu’est-ce que vous foutez ???), c’était une aventure spatiale où Mario sautait de planète en planète avec une gravité complètement folle. Un gameplay révolutionnaire à l’époque qui a marqué toute une génération de joueurs. Le producteur Chris Meledandri a même teasé que “ce prochain film réserve des surprises pour les fans de toutes les époques de Mario”. On peut donc s’attendre à des références qui parleront autant aux nostalgiques qu’aux nouveaux venus.

Aaron Horvath et Michael Jelenic reprennent également les commandes de la réalisation après avoir brillamment mené le premier film. Matthew Fogel reste au scénario et Brian Tyler revient pour la bande-son. Autant dire que l’équipe gagnante est au complet pour nous offrir une suite à la hauteur de nos espérances.

Universal Pictures distribuera le film dans le monde entier, avec une sortie prévue pour le 1er avril 2026 en France. Les fans japonais quand à eux devront patienter un peu plus longtemps puisque le film sortira là-bas le 24 avril 2026. Snif…

Bref, cette suite spatiale s’annonce comme l’un des événements ciné de 2026 et puis entre nous, qui n’a pas envie de voir Mario naviguer de planètes omme dans le jeu Mario Galaxy ?

En attendant, je vous conseille de vous refaire le jeu original sur Switch (disponible dans Super Mario 3D All-Stars) ou de revoir le premier film pour vous mettre dans l’ambiance. Et si Jack Black nous fait un autre tube comme le “Peaches” du premier film, je signe direct !

Source

I'm richer than you! infinity loop